"Gilles Bernheim était le représentant d’un judaïsme à la française, ouverte vers l’extérieur et il est fort probable que le Consistoire prenne le contre-pied après sa démission et adopte un certain repli", estime Sylvie-Anne Goldberg. "La communauté ultra-orthodoxe veut reprendre la main et elle a toutes les chances d’y arriver maintenant que Bernheim a montré ses faiblesse", ajoute la chercheuse. "