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rezareza (---.---.227.216) 3 mai 2013 01:43
Moi Arabe, de Mustapha Ben Allah.

Et les petites filles d’Islam pleurent,
Trahies par les leurs, qui vivotent avec leur sous dieu et leur frayeur maladive.
Sans jamais penser à elles, même leurs mères martyrisées ne les émeuvent pas.
Ils offriraient le bâton au père qui bat leur mère, celle qui leur donne la vie, trahie elle aussi.
Leurs croyances sont fades et bêtes, comme on dresse les pauvres animaux.
Point besoin d’astuce pour les leurrer, ils adhérent comme des incultes, des superstitieux, des peureux bornés.
Oh, j’en connais mille, dix milles, cent milles, bon musulmans, qui ne voient dans leur dieu que poésie, lumière et salut.
Et ceux là rient, et ceux là chantent, et ceux là dansent.
Ils enlèvent le soir le foulard sur la tête de leurs enfants.
Et disent : "pardon, pardon, c’est les hommes qui sont mal éduqués, un jours tes cheveux seront libres de voler au vent, et des hommes sages contempleront ta beauté sans vice et tu sera déesse car ici, libre et aimé, tu l’es déjà".
Aussi ceux là, quand ils vont sur la place du marché, pleurent en voyant le voleur affamé à qui l’on coupe la main, en voyant la femme vendue mais plus tard amoureuse et qu’ils lapident a coup de pierre, et elle, elle regarde le ciel et remercie le grand tout de lui avoir donné, l’espace d’un instant, la contemplation immense de l’amour, qu’on ne lui parle pas d’amant, elle elle le sait héros béni, sauveur.
Et le vieillard qu’il l’a acheté fillette, devient fou, discrètement et applaudis les assassins dans un vertige prodigieux.
Et ceux là, autres petits monstres, Islamistes détestant les juifs, les ignares.
Ils insultent Moise, premier prophète et le peuple qui le premier servit dieu.
Ils insultent le second, et ne peuvent que servir mal le troisième.
Quand on leur parle de science et de lumière, ils vénèrent la terre plate, ils n’évoluent pas et sont dépassés.
Quand on leur parle de celles qui souffrent, ils ne pleurent pas, et eux même aiment si mal, ils sont si balourds et teigneux.
Ils sont bornés, ils sont bêtes, ils sont méchants, ils sont odieux.
Alors dieu les punit en me créant moi, qui les combat et qui gagne.
Dans l’intelligence et l’émotion, au point qu’enfin, j’ai le sentiment de vivre réellement, à la gloire de l’univers, comme un singe agile et prodigieux de réalité.

Tunisie, Mai 1984.
Pour grand mère vendu, violé et lapidé. Et qui réelle martyre m’expliqua qu’aimer était plus important que d’obéir.




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