Ah oui, il y a ça aussi, c’est vrai : le "dualisme transcendantal". Ça c’est le genre de pépites dont Soral ponctue sa prose pour réveiller de temps en temps ses auditeurs les plus calés, leur donnant le change en quelque sorte après avoir flatté par quelques coups de sang son armée de réserve pressée d’aller casser du banquier.
Riton, vous êtes libre mercredi soir ?