Les machines à voter numériques n’ont de légitimité que si elles agissent en parallèle du système papier et ne trouveront leur plein sens que quand elles légitimeront la démocratie numérique accessible à tous, en temps réel et par l’usage de sa propre carte d’identité magnétique. Ainsi toute trace de chaque intervention existe et valide à terme chaque accord ou censure de l’électeur.
Exemple, googol sait déjà que Césarkozy est définitivement disqualifié !