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Norman Bates, Dieu me caresse (dans le sens du poil), tu es toujours vivant et en bonne santé mentale, comme Sutter Kane l’a souligné également .

Après avoir quitté le bouillon agoravoxien, je te retrouve, et évidemment, à faire la mauvaise tête sous un article consacré à Saint Lanzmann, un des petits Prophètes annoncés et qui entrera au Panthéon Léon avant la fin du quinquennat de Macron, ou au début de celui de Cyril Hanounna, inch Allah Akbaràbièrouhavin.

Bref, le moment n’est pas encore venu de tous nous mettre d’accord sur cette histoire de carburants fossiles, mais il ne saurait tarder, je n’en doute pas ! D’ici quelques jours, lorsque la France aura gagné la Coupe du Monde et que le sérieux de la recherche historique et de la rigueur intellectuelle qui caractérise nos géniaux compatriotes, aura réinvesti leur boîte crânienne. En attendant, vive la France, vive la Belgique, vivent les frites et le camembert, vive toi, Norman !