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Maldoror

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  • Premier article le 16/11/2009
  • Modérateur depuis le 03/02/2010
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Derniers commentaires




  • 5 votes
    Maldoror Maldoror 11 mai 2010 13:09

    C’est quand même génial, Cheminade était - et est encore - pris pour un illuminé, mais c’est lui qu’avait tout juste, et ça fait vers 15 ans qu’il dénonce le dictat financier et le risque de crise systémique.



  • 0 vote
    Maldoror Maldoror 6 mai 2010 23:23

    Et pourtant, l’échec de l’Euro est patent. Et je remarque que sur Marianne2.fr les articles sont de plus en plus critiques et sur l’euro, et sur l’UE.

    Ce moment est intéressant car le système de propagande politico-médiatique va de plus en plus être confronté au réel, et l’écart croissant entre le discours et la situation économico-sociale.



  • 2 votes
    Maldoror Maldoror 5 mai 2010 21:50

    ""Les USA sont encore en mesure de la modeler la crise à leur convenance afin de conduire une guerre financière secrète contre les protectorats européens, délibérément fragilisés."

    Michel Drac, "Crise ou Coup d’Etat ?". Le retour aux sources. Janvier 2009.

    Debout la République lance une pétition nationale pour sortir la France de l’euro :
    http://www.debout-la-republique.fr/...



  • 1 vote
    Maldoror Maldoror 5 mai 2010 19:24

    Edito de Cheminade :
    Vivre après la mort de l’euro. Ce 4 mai, le système monétariste de l’euro se désintègre. Est-ce un drame ? Oui si nos dirigeants continuent à aller comme ils vont, prêts à sauver la monnaie unique en sacrifiant les économies et les peuples. Non si cette crise devient une chance de changer de système, en soumettant le financier et le monétaire au travail et à la production, à l’équipement de l’homme et de la nature.

    La Grèce n’est pas le c ?ur du problème, elle n’est que le maillon faible de la chaîne. Le peuple grec n’est pas coupable de la faillite de son Etat. C’est pourtant lui que les marchés financiers et les institutions internationales veulent saigner à blanc pour renflouer les banques créditrices. La politique du chancelier Brüning et de Pierre Laval pendant les années trente se remet ainsi en place, avec la même férocité et la même incompétence.

    Il est donc honteux que l’UMP et le Parti socialiste jettent aux orties leurs passés gaulliste et jaurésien pour se faire les collaborateurs d’un plan qui détruit les forces productives et le travail humain. L’Union européenne et le Fonds monétaire international vont prêter 110 milliards d’euros à la Grèce pour qu’elle rembourse les banques françaises, allemandes et anglaises ! Le saccage économique et social du pays aboutira, si la folie prévaut, à une baisse du niveau de vie de 20 à 30 % et, dès cette année, à un recul du Produit national brut de 4%. Les fonctionnaires perdront 2 mois de leur traitement sur 14, les retraites baisseront d’au moins 15% avec un âge de départ augmenté de 14 ans, les salaires seront gelés pendant 3 ans pour tous et le Code du travail démantelé. En même temps, la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) passera de 21 à 23% (elle avait déjà été augmentée de 19 à 21% en mars), les taxes sur les alcools, les tabacs et les combustibles seront accrues de 10%, ce qui entraînera une hausse des prix face à une baisse des salaires ! Une catastrophe pour les travailleurs mais aussi pour les entreprises, or aucune mesure de soutien à l’industrie locale n’est prévue et on peut donc s’attendre à une hécatombe de PME-PMI.

    Seuls les communistes, MM. Mélenchon et Dupont-Aignan dénoncent le scandale. Ce dernier dit justement : « La France ne doit pas payer pour aider la Grèce ?à mourir ». Alors que M. Jérôme Cahuzac, président PS de la commission des Finances de l’Assemblée, ne craint pas d’affirmer que les socialistes agissent pour « défendre la zone euro et notre monnaie commune ?défendre la Grèce, un pays ami » et « mettre fin à une spéculation qui n’a que trop duré ». On ne sait s’il s’agit de bêtise, d’aveuglement ou de cynisme. Car défendre un ami en l’étranglant, arrêter la spéculation en l’encourageant et tenter de sauver une monnaie commune qui est un mort vivant revient à creuser sa propre tombe.

    Michael Massourakis, chef du département d’analyse économique de la banque Alpha, dans la mouvance de la City, nous décrit une Grèce se vendant aux touristes et « attirant d’innombrables entrepreneurs européens dans les secteurs des services ». Peut-être qu’après avoir acheté un ryad au Maroc certains socialistes espèrent y acquérir une île ?

    Cependant, ils se font des illusions, car l’ogre financier les mangera malgré toute leur complaisance. Déjà, Paul-Henri du Limbert dit tout haut dans le Figaro ce qu’on pense à Londres : « Surtout, si la France ne s’astreint pas à une plus grande discipline aujourd’hui, qui peut dire qu’un ?scénario à la grecque’ ne lui pend pas au nez, demain ou après-demain ? »

    Déjà les vautours s’en prennent à l’Espagne, se rapprochant de nous. Il est plus que temps de préparer une vie après l’euro.
    http://www.solidariteetprogres.org/...

    Sur marianne2 :

    La vrai raison de l’attaque des marchés contre l’Espagne :
    Les banques espagnoles portent 60% de la dette portugaise. C’est ce qui explique le raid des traders contre la dette espagnole. Explications.
    Bien qu’elle soit accessible à qui veut bien la chercher, l’information est quasiment tenue secrète, et constitue la vraie bombe risquant de faire basculer l’Espagne dans la situation de la Grèce, donc, à court terme, de transformer la secousse grecque en séisme généralisé au niveau européen. L’équilibre ne tient qu’à un fil qui peut se rompre d’un instant à l’autre si le Portugal ne trouve pas d’urgence la dynamique permettant de résoudre l’hémorragie de sa dette publique.

    En réalité, et c’est là le drame, 60% de la dette publique portugaise est porté par le système bancaire espagnol, l’Espagne étant le principal partenaire économique du Portugal. Si ce domino bascule, c’est l’explosion, avec le risque de faillite pandémique étendue à tous les autres systèmes bancaires, sur lequel la banque espagnole pèse lourd. Pour l’heure, le gouvernement portugais a revu à la hausse ses estimations concernant sa dette publique prévoyant désormais qu’elle atteigne 86% de son PIB en 2010, contre une prévision antérieure de 85,4% du PIB, selon le programme de stabilité et croissance rendu public le mardi 16 mars 2010. Les années suivantes, la dette devrait s’alourdir à 89,4% en 2011, à 90,7% en 2012 avant d’amorcer une légère réduction en 2013 à 89,8% du PIB. Mais ce n’est qu’une promesse, et l’on voit mal, aujourd’hui, comment il pourrait la tenir. 

    Le pacte de stabilité européen fixe théoriquement la limite de l’endettement des pays de la zone euro à 60% du PIB et à 3% la limite haute des déficits publics autorisés. Le Portugal s’est engagé à faire passer son niveau de déficit public de 8,3% à 2,8% en 2013. Quant à l’Espagne, elle est, certes beaucoup moins endettée qu’Athènes, mais elle n’a pas de perspective de rebond. Son essor économique reposait sur un seul secteur - la construction - et avec l’effondrement de l’immobilier, elle se retrouve avec un million de logements vacants sur les bras et 20% de chômeurs. Le drame de l’Europe, la faille visée par les marchés qui s’attaquent aux maillons les plus faibles, ce n’est pas tant la dette, que l’impasse dans laquelle se trouvent certains pays à retrouver la croissance, donc les rentrées financières, qui garantirait qu’elles seront remboursées, mais si la dette publique portugaise entraîne la banque espagnole au fond du gouffre, alors oui, le cataclysme se produira.



  • 2 votes
    Maldoror Maldoror 12 avril 2010 15:59

    Le problème c’est que cette construction européenne telle qu’elle a été mise en place est conçue comme quelque chose d’irréversible et sans alternative possible.
    Le schéma est le suivant :
    1. ratification de traités communautaires avec compétence croissante de des institutions de l’UE au détriment des Etats.
    2. constat de difficultés, rapide obsolescence/ inadaptation des cadres juridiques existant et/ou crise quelconque politique/économique/financière
    3. seule solution : accentuation de l’orientation existante.

    Exemple : l’euro dont les vices de conceptions nous mènent aujourd’hui vers la gouvernance économique.
    Donc, je crains que l’édifice ne succombe pas à la crise qui vient, mais risque de vampiriser les dernières compétences des Etats-nations européens.
    Bientôt la boucle sera bouclée.

    Le bloc euroatlantique étant programmé depuis un certain temps, on verra s’ils prendront la peine de trouver un prétexte le justifiant, (la crise sera toute trouvée) ou s’il n’en auront même plus besoin. http://www.dailymotion.com/video/xb...

    Information importante donnée par l’UPR, parti de François Asselineau :
    Détail fondamental, jamais souligné ni à l’époque ni depuis, la position française développée à l’ONU par M. de Villepin a violé les dispositions du traité sur l’Union européenne, dit traité de Maastricht. Celui-ci prévoit en effet, dans la partie V concernant ?la Politique Etrangère et de Sécurité Commune ? (PESC), que ?Les

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