Et bien dans ce cas, c’est qu’il n’est pas "libéral" au sens d’Adams Smith et, si vous le connaissez, faites lui connaître ma réflexion.
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Mieux vaut dénommer l’idéologie de la concurrence (couramment dénommée libéralisme) par le terme polémergisme (grec polémos = guerre ; ergos = travail ; polémergisme = guerre au travail). Ce mot désigne mieux la théorie économique actuelle que le terme de libéralisme qui fait croire qu’elle est liée à la liberté.
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J’en suis arrivé peu ou prou à la même conclusion que la sienne au sujet du salariat (sauf que je ne le vois pas comme un esclavage, car cela impliquerait un salarié propriété de son entreprise, ce qui n’est pas le cas, mais plutôt comme un servage).
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Ce servage est le résultat logique de la guerre économique (le polémergisme), qui a produit une nouvelle féodalité, basée non plus sur la conquête de territoires fonciers, mais sur la conquête de territoires économiques. L’on peut faire un parallèle fascinant entre la montée de la féodalité en l’an 1000 et la période présente : c’est le même principe : l’asservissement du plus grand nombre produit par une guerre oligarchique.
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Et si jamais ma réflexion l’intéresse, faites-lui part que je me plierais volontiers à mon "quart d’heure de célébrité".