C’est à la 44ème minute que Jean Peyrelevade exprime sa crainte d’une union des courants populistes. Il révèle au fond là, ce que ressent dans son ensemble l’oligarchie : la connection d’un puissant mouvement qui renverserait l’ordre économique établi à la faveur d’une infime minorité.
C’est intéressant de voir que cet ancien directeur d’une grande banque admet implicitement au vu de la crise financière à la 45ème minute que les ploutocrates qui contrôlent les banques ont joué, je le cite " aux apprentis sorciers".