L’Univers (ou Multivers) est incréé. Il a toujours existé et existera toujours (ça vaut donc pour l’énergie). C’est une notion qui parfois n’est pas si simple à accepter. Exit la création ex nihilo. Le Cosmos, lui, c’est autre chose. Notre "portion vibratoire". C’est selon l’arbre des possibles et le seuil de densité. Un bourgeon, parmi d’autres, dans un arbre avec une infinité de branches si l’on veut.
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Et l’un des points communs entre l’Ensemble de tous les Ensembles (ou de tout ce qui existe) et le(s) Cosmos, c’est qu’ils sont cycliques. D’infinis mandalas à différentes "échelles". Et nous serions une manifestation d’énergie bouillonnante au sein de cet échantillon (avec ses lois, ses règles, ses normes) - sur le grand éventail des densités vibratoires, dimensions en abondance - à l’instar par extension du "petit" échantillon EM perceptible à l’Humanité. Qui sait peut-être des êtres, quels qu’ils soient, sont-ils capables de passer outre, de prendre certains raccourcis (de même que la gravitation... cela pourrait expliquer certaines "anomalies" assez sombres).
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Ce qui mène à la transcendance notamment, c’est de savoir que toutes les "individualités" (du nanoscopique au macroscopique), ces apparences, ces hologrammes, forment la seule et même essence. Le Tout. Nous en faisons partie comme Il fait partie de nous. Il n’y a in fine qu’une seule et même "énergie" qui sous-tend l’Univers. Le plus bel algorithme, la plus belle équation. Et cette énergie ou ce Tout s’exprime d’une myriade de façons, au gré de ses portions écloses, qu’elles soient fractales, holographiques ou que sais-je encore.
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ps : je conseille vivement "La mélodie secrète" et "Le chaos et l’harmonie" de Trinh Xuan Thuan. Un vrai régal.