C’est ce qu’on appelle de "l’art didactique", une impasse esthétique qui n’est ni intéressante sur le plan de la beauté ni efficace sur le plan de la communication. L’art doit nous émouvoir, nous faire bander, nous faire peur, nous faire rêver et pas nous donner des leçons ou prétendre éveiller nos consciences ou ce genre de conneries relevant du catéchisme niais. Les documentaires journalistiques en revanche peuvent nous informer, mais ils n’ont pas besoin de faire du théâtre, simplement il leur faut exposer des faits le plus clairement possible. Le mélange des deux est indigeste.