Dans ta conception marxisante qui ne se s’est pas, la Nation est une soumission,
eh bien mon petit, tu n’as pas l’impression d’être en plein dans l’air du temps
: soumis à la société de consommation, dans le virtuel, où il faut acheter
systématiquement les nouveautés pour ne pas être démodés... !
Ça, c’est de la
soumission au marché financier, plus précisément au Mondialisme apatride vois-tu
?
Louis de Bonald disait en résumé : "ce n’est pas avec un siècle, mais
avec tous les siècles que nous marchons" et c’est exactement ça qui te manque :
si un siècle est composé de telle manière, c’est que les anciennes générations
l’ont construit ainsi, ce qui implique un héritage entier, un héritage que l’on
apprend et que l’on transmet ou alors un héritage que l’on renie comme un
misérable traitre.