L’anomie dont parle Lucien Cerise est prophétisée comme un signe des temps dans le 2e épitre aux Corinthiens (2:9-10) :
"Car le mystère d’anomie agit déjà ; il faut seulement que celui qui le retient encore ait disparu.
Et alors paraîtra l’anomique, que le Seigneur Jésus détruira par le souffle de sa bouche, et qu’il anéantira par l’éclat de son avènement."