Pour résumer la situation :
L’état et les banques sont en concurrence sur leur activité favorite : voler les pauvres.
Les uns par l’usure les autres par l’impôt.
Sauf que dans l’affaire les banques tiennent l’état par les couil... heu... la dette publique.
En gros : Pourquoi se faire chier à faire signer laborieusement des millions de prêts individuels à ces rétifs de pauvres alors qu’en un trait de plume l’état en endette 60 millions d’un coup ?
Il est donc bien plus logique de contrôler l’Etat et de l’obliger à déposer son pouvoir régalien de battre monnaie aux pieds de l’Etre Suprême, c’est à dire le banquier.