Salut

intéressant propos je trouve..

tu dis : Ce qui remis en cause c’est la nécessité de le forcer à être solidaire. Forcer un homme à être solidaire c’est comme forcer un poisson rouge à nager. On est programmé pour se soucier des autres, cela s’appelle de l’empathie et d’ailleurs c’est souvent la source des plus grands plaisirs dans la vie.

certes c’est une façon de voir un des aspects, il manque son contraire car il est admis sans le savoir que alors on force les hommes à ne pas être solidaire...et ceci est une vérité..de ce qui se passe dans le présent pour moi c’est d’une clarté limpide. Avec la compétition qui élimine, la valeur (donnée par qui ? le voleur) à des talents ,des métiers, et pas à d’autres, l’argent qui est faux etc..il est accepté alors sans rien dire de forcer à ne pas être solidaire...d’un coté tu dis "ne forçons pas à être solidaire", et de l’autre tu ne dis rien sur le fait que les gens soient forcés à ne pas être solidaire...bien joué !!

au delà de cela la solidarité non volontaire peut être forcé un peu, c’était le but du Général De Gaulle et du CNR..la vraie solidarité compassionnelle et donc spontanée sans réflexion ne peut pas être forcée,mais ceci n’existe quasiment plus chez nous sauf exceptions totalement mentalement en dehors du groupe humain..comme la pensée ne peut être en contact avec L ’ Origine..il nous manque ce qui comme tu dis : On est programmé pour se soucier des autres, cela s’appelle de l’empathie et d’ailleurs c’est souvent la source des plus grands plaisirs dans la vie.

mais c’est au delà de ce que on connaît , il n’ y a plus de plaisir mais une sorte de "nourriture" qui n’est plus humaine et ou la question du sens a disparu, le plaisir que l’on connaît est celui d’atteindre des buts mais il est en même temps frustration, peur de le perdre ,désir qu’il continue et finalement souffrance etc etc

tu dis : Ce qui est remis en cause c’est la sois disant solidarité organisée par l’état. La solidarité pour s’appeler ainsi nécessite un consentement.

ici de même, pour moi, tu ne vois que un aspect..tu ne vois pas l’aspect que si l’état disparaît, et cela arrivera le jours ou nous seront intelligent,c’est pas demain la veille donc, si l’état disparaît le voleur demeure , et là il est prêt alors a voler beaucoup plus, mais avec ce que l’on est si l’état tombe là la notion de partage disparaît totalement..retours 10 000 ans en arrière maître et esclave il y aura..enfin non car ça ne va pas plus marcher...mais le maître ne le sait pas encore, enfin si c’est pour cela que lui aussi a la trouille en ce moment...le voleur n’est plus l’état qui force mais quelques particuliers qui volent le collectif..pour le petit c’est encore pire.....

tu dis : Les dévalisés regarde incrédule cet argent partir vers des personnes avec qui ils n’avaient aucun lien de solidarité naturelle. Et ils se retrouvent sans sous pour être solidaire avec les personnes proches (familles, etc.)

juste retour des choses un jours je vole ,le lendemain je suis volé....ceci est notre monde ...seul je n’existe plus, je meurs en quelques jours......si j’accepte la compétition qui élimine donc de gagner je dois accepter de perdre..

cela dit tout ceci est très très superficiel...car nous sommes très très superficiels..mais si on laisse faire ce qui volent le collectif pour devenir riches et puissants, il ne fait aucun doute que leur but est d’utiliser les autres sans jamais les payer pour leur travail...

les esclavagistes sont toujours là...il va falloir les empêcher de nuire...