mais je suis totalement hors sujet, puisque après relecture je me rends compte que l’argument de Eric Guéguen a pour unique motivation de lutter contre les bons sentiments.
Et là, je ne peux que lui donner raison : les bons sentiments, comme la recherche paranoïaque des bons sentiments, la méfiance paranoïaque contre la difficulté ou contre la facilité, sont tous des travers qui ne favorisent pas la réflexion.