@Marioupol
Ah oui, c’est vrai, il y a ça aussi : se dire anar par dégoût de la "petite bourgeoisie". J’en ai connu pas mal au lycée, majoritairement fils et filles d’avocats, de médecins et de pharmaciens. Une ville comme Rennes est infestée de ce genre d’énergumènes, mal dans leur peau, et qui, soucieux de réunir cohabitation indigente et privilèges de classe, s’encanaillent la journée avec des marginaux aux crêtes de poulet multicolores sur la tête, flanqués de leurs chiens à bandana. Puis, le soir venu, ils regagnent les pénates de papa-maman, se lavent les mains, font le bénédicité et passent à table.
Il existe même une "fédération anarchiste". Rien que le titre est marrant.