Cétait les éléments de langage de l’époque, il fallait que ce soit "sociââle".
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Il suffisait de prononcer la parole magique, et hop, tous les cocliones votaient pour voue. sociââle...
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Le social pour la gauche c’est la même chose que le casher pour les juifs ou le hallal pour les musulmans, si c’est sociââle c’est bien et bon.
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La gauche c’est une secte, une secte religieuse, mais il faut dire que mussolini avait poussé plus loin encore que nos actuels gens de gauche.
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Pour Mussolini, l’individualisme et le libéralisme étaient deux démons à combattre absolument.
L’individu n’existait pas, il n’avait pas droit à la parole, pas de volonté propre, il devait plier devant le groupe, aucune liberté n’était permise à l’individu. Un monde merveilleux, et il y a encore des gens aujourd’hui qui nous explique que l’individualisme c’est le mâl, c’est pô bien.
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Dans le fascisme : l’accomplissement final du socialisme, les individus devait avoir une obéissance absolue et inconditionnelle aux instances.
Ils avaient pour devise : Ne me frego : je m’en fous (de la mort).
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Il y avait un coté secte et religieux dans le fascisme, mais ça existe toujours aujourd’hui chez les gens de gauche, ou de néo gauche.
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Tout c’est du passé, du réchauffé, mais ça existe toujours.