@sls0
J’aime beaucoup tes commentaires. Mais là je suis obligé de me démarquer : tu dis "Si j’en suis venu à parler de maîtres zen....... la personne est très éloignée du libre-arbitre." De quelle personne parles-tu ? De celle qui est soumise à ses préjugés ? Le zen ne critique la raison que dans la mesure où celle-ci limite notre perception du réel. En aucun cas il ne nie le libre-arbitre. Je pratique za-zen depuis l’âge de 15 ans (avec, je te l’accorde, une constance qui est loin d’être exemplaire) et ce que je peux te dire c’est que le libre-arbitre est présent dans tous mes gestes, y compris dans la manière dont je me torche le c.u.l.