La violence des discours est probablement inversement corrélée au potentiel physique des populations.
En deux générations, les enfants ont perdu une minute pour courir 1000m. Cela situe le problème : sédentarité, perturbateurs endocriniens, abrutissement orchestré, sidération et ingénierie sociale, pornhub, tik tok, cannabis et corrélativement dépression larvée...
Je constate que la violence physique s’est nettement débridée, mais elle est pratiquée par une population "particulière", primairement haineuse, auto-élevée à l’ombre des tours. Et paradoxalement, une minorité de jeunes ont un taux de testostérone, une force physique et une impulsivité hors norme (gènes protecteurs contre les PE ?)
Alors la révolution franco-française n’est pas près d’exploser, du moins pas en continuité de l’idéologie inspirée par Juan Branco, Il n’y aura plus que des points chauds, mais aucune vague de fond ne se soulèvera.
La guerre est (dé)finie.