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TchakTchak 17 juin 2023 08:02

(J’avais écrit ce message au mauvais endroit. Je je replace ici).

L’Europe reste un continent exceptionnel que le monde entier regarde. Elle draine d’Afrique les jeunes hommes violents qui cherchent à se faire du fric et des femmes faciles et les oualakhbar à couteaux qui ne peuvent pas vivre avec les khoufars. Elle fabrique aussi des idéologies les plus débilitantes possibles pour montrer aux autres civilisations ce qu’il ne faut pas faire.

Après le dépouillement de la France avec Macron, Sandrine Rousseau est la personne idoïne pour 2027. Au deuxième tour, ça ne se verra pas si 5 ou 6 millions de voix seront déplacées pour elle, d’autant plus qu’on sait que Marine le Pen ne veut pas être présidente.

 .

Plus "sérieusement", je regrette de ne pas avoir pris de notes à l’allocution de Jean-François Braunstein, tellement c’est dense.

La "civilisation européenne", pour partir d’un cadre, a finalement épuisé ses ressources. Le christianisme, c’est mort : la gentille histoire de nos âmes qui iront au pays où coule le lait et le miel, est la même que celle du père Noël. Le marxisme n’apporte pas le monde merveilleux du communisme. Le capitalisme, qui a libéré des industries, emplois, argent, confort, n’apporte plus rien. Le progrès, non plus, à par un mantra sans but. La science peut transformer, mais elle n’a plus de visée.

Il en reste donc que des déchets de pensées : les pathologies et les fabrications monstrueuses. Il y a toujours une victime dans la société et le sens du péché qui s’est déplacé dessus. On entretient, à vide, la croyance en la liberté de faire ce qu’on veut, puisque la science et le progrès le permettent. Phénomène aggravé avec la génération montante confrontée au réel de plus en plus effrayant : surpopulation mondiale, épuisement des ressources et désastre écologique, montée de l’insécurité, de l’acidité des existences, de l’animosité et des violences sous toutes les formes.

 

J’ai relevé quelques phrases :

Nos corps ne comptent pas, ce sont nos consciences qui comptent.

Le corps est le mal dont il faut se libérer.

Avec le Métavers, on peut changer de genre.

La fabrication des fragiles.

Une fracture qui naît entre les travailleurs du monde réel et les travailleurs du monde virtuel.

 

Je suis de la génération Goldorack : un héros surpuissant grâce à la technologie et à la force mécanique. Il y a eu les mangas, et le Metavers sert à vivre selon un personnage que l’on n’est pas, mais que l’on rêve. Il y a sans doute un téléchargement progressif et global de nos êtres dans le réel vers des personnages imaginaires dans un monde virtuel.

Tant qu’on n’aura pas trouvé un nouvel horizon de pensée, un nouveau paradigme, tout partira en couilles (ou en kystes ovaires), avec des pensées pathologiques comme seules substitutions.

(Et ce ne sont pas les zézétocs qui vont faire le job, hein… ni lagôcheouladrouatte)




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