Dans « La Genèse du réel », Bernard de Montréal écrit qu’« Il n’est pas surprenant que l’homme moderne, malgré sa science, soit plus moyenâgeux que l’homme du passé. Comme les dieux n’ont pas été remplacés par sa réalité moderne, l’homme est sans source et sans identité, limité à sa vie matérielle et la mort qui l’achève. »
Cependant il ajoute que « L’humain plus évolué se dissociera, le temps venu, des idéologies globales et recouvrera son identité. ».
Le Dieu du macrocosme et le « Dieu » du microcosme.