@smartphone
En 1993, de passage à Paris, j’ai vu ces trois
affiches sur toutes les rames de métro, en géant, répétitives, sur les murs
incurvés : https://fr.web.img6.acsta.net/pictures/20/07/07/11/03/4375808.jpg
(elles étaient affichées séparément).
Et les Parisiens se déplaçant pour le travail n’avaient
pas de choix que de les subir.
Ça m’avait donné le sentiment clair que les
banlieues allaient être le problème, peut-être final de la France. A cause d’eux,
bien sûr, mais surtout à cause des Français.
Il y avait, avec ces affiches oppressantes
arrivées là, cette joie malsaine de faire peur au populo et à l’humilier en l’imposant
dans l’espace public (un procédé classique de ce qu’on appelle maintenant le
gaslighting). 1993, c’était la période gauche caviar dégénérée (ou la
génération baby qui fait connaître ses pathologies).
Il y avait aussi l’envie de jouer au rebelle par
procuration, qui a donné les antifa, la magistrature idéologisée au lieu de
rendre justice, sans compter l’université, qui en est maintenant au wokisme.
Maintenant, la règle est claire : si quelqu’un
touche un cheveu d’un arabo-musulman, ils mettent la France en feu. Les politiques
obtempèrent et font spectacle de leur veulerie avec la minute de silence
(coucou Marine) et démonstration est faite que l’Etat est soumis à leur loi, au
lieu d’être au service des Français.
Quelqu’un qui attaque des caravanes,
pille, tue, capture : ce n’est pas un prophète, c’est un guerrier. La France est sous un syndrome de Stockholm national : c’était un ange...