@Gaspard Delanuit

La question ne m’est pas adressée mais elle m’inspire deux autres questions sérieuses, pour vous, Norman : 

1. Pensez-vous que Schwab, Attali, Soros ou Gates veulent "le mal" de l’humanité et si oui pourquoi ? Ils sont sadiques, méchants, ou quoi ?

On a regardé l’Ile aux enfants, mais on sait bien qu’il y a un âge pour tout.

Quand Klaus Schwab dit "Vous n’aurez plus rien et vous serez heureux", il ne parle pas depuis l’hôpital Saint Anne avec un entonnoir sur la tête, mais tout ce qui porte un costume cravate ou un tailleur noir chante les paroles du prophète.
Quand il dit qu’on aura tous une puce dans le cerveau, on ne regarde pas un film de Stanley Kubrick, mais une émission sur une chaîne tévé Suisse francophone. 
Quand Billiou veut "soigner" toutes les maladies aux injections : il n’est pas médecin et il ne connaît pas mon corps. Et moi, j’aimerais bien pouvoir disposer de mon corps.
Quand Attali dit que la France est un hôtel, ça fait un peu mal aux oreilles à entendre pour ceux qui bossent dans cet "’hôtel".

La question n’est pas le pouvoir, mais la malfaisance.
Le pouvoir, c’est de l’influence, dès lors qu’il y a société humaine, implicite ou explicite. La question n’est pas de l’éradiquer. Et ceux qui ont du talent, du QI, du pognon, un carnet d’adresse livré par les parents, etc.. ont plus de mise pour avoir de l’influence ou du pouvoir.
Après, le pouvoir, c’est de l’action sur les autres. Les autres, cela ne va pas les déranger, et même au contraire, si le pouvoir exercé est bienfaisant, apporte des biens, du confort, du taf, du fric, du plaisir et tout ce qu’on veut. La question se pose pour les autres quand le pouvoir apporte du mal, de la souffrance, de la perte, etc...
Et les autres ont le droit alors de l’ouvrir, de limiter le pouvoir ou de changer la personne qui l’exerce. 

Pour la question 2. Il n’y a donc pas de mal, contraire, de dénoncer la malfaisance ou le malveillance de ceux qui exercent le pouvoir contre les autres et de faire savoir en quoi consiste la malfaisance. Le résultat n’est pas certain, mais qui ne tente rien n’a rien.