Hydroliennes, captation de l’énergie cinétique des vagues, usines marémotrices, etc. : comment exploiter les énergies renouvelables marines ?
Synopsis :
Berceau d’incroyables forces de la nature, les mers et océans sont de gigantesques réservoirs d’énergie. Des chercheurs et des ingénieurs se sont fixé un but ambitieux : couvrir un tiers des besoins énergétiques actuels à l’échelle mondiale grâce aux énergies renouvelables marines. Comment atteindre cet objectif ?
Berceau d’incroyables forces de la nature, les mers et océans sont de gigantesques réservoirs d’énergie. Voilà pourquoi des chercheurs et des ingénieurs se sont fixé un objectif ambitieux : couvrir un tiers des besoins énergétiques actuels à l’échelle mondiale grâce aux énergies renouvelables marines. Le potentiel existe indéniablement, car près de 70 % de la surface de notre planète est recouverte de mers et d’océans. Mais comment puiser dans cette énergie ? Quels investissements en Recherche et Développement seront nécessaires ? Cette forme d’électricité sera-t-elle rentable ? Quel impact sur les écosystèmes aura cette production d'énergie ? X:enius se penche sur l’énergie des vagues et de la houle.
En compagnie de l’inventeur d’une houlomotrice d’un nouveau type, Emilie Langlade et Adrian Pflug inspectent cette centrale qui, au large de la baie de Brest, récupère l’énergie des vagues pour produire de l’électricité. L’institut Ifremer est le plus grand centre d’essais de capture d’énergie des vagues en Europe. Ses engins prototypes subissent des essais très poussés avant de passer à la phase opérationnelle offshore. Des caméras spéciales mesurent le moindre mouvement. Emilie plonge dans un bassin d’essais et, à l’aide d’une caméra spéciale, réalise des images sous-marines passionnantes.
Hormis l’énergie des vagues, il est désormais possible d’exploiter aussi l’énergie des courants grâce à des hydroliennes. Cela dit, le site doit répondre à certains critères. X:enius en a visité un au large des côtes d’Irlande du Nord.
Source : Programme TV.
Quelques principes de captation de l'énergie cinétique de la houle :
Une synthèse passionnante de l'état de l'art qui ravira tous les amoureux de la science et des énergies libres.
Cela dit, ces procédés sont très coûteux tant du point de vue des études que de leur réalisation technique et de leur implantation. Ils n'ont AUCUN avenir, compte tenu des procédés révolutionnaires d'énergie libre qui arrivent bientôt (dans moins de 5 ans) et qui eux ne nécessitent pas autant de crédits de recherche, et surtout sont bien moins coûteux à fabriquer, en plus d'être bien plus efficaces du point de vue du rendement énergétique. Avis aux entreprises et aux industriels du secteur des énergies renouvelables de type éolien et hydrolien : n'investissez pas d'argent dans ces voies de garage qui seront bientôt totalement dépassées : vous allez perdre vos investissements parce-que vous ne pourrez pas les rentabiliser. Au moins vous êtes prévenus...
Nota Bene :
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Tags : Mers et Océans Energie Science et techno Energies renouvelables
4 réactions à cet article
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Ce n’est pas l’énergie utilisable qui manque : il y en a à profusion. C’est son prix, qui seul compte. Celui des hydrocarbures est savamment calculé : c’est le maxi possible avec pour limite supérieure celle d’empêcher les autres d’émerger. Ils ont en plus pour eux d’être facilement transportables et d’avoir un rapport énergie produite / volume transporté non égalé encore pour longtemps.
On n’entend très peu sur les forums d’Agvox et on ne voit pas non plus d’article qui permettent de juger de la validité de l’idée pourtant ancienne que les hydrocarbures sont d’origine tellurique (on dit aussi abyssale ou même abiotique). Vu la découverte sans cesse de nouveaux sites exploitables et leur situation géographique, sur notre globe terrestre, ce concept est pour moi totalement confirmé.
Comme pour le "911" on a toutes les preuves, mais chut ! il y a des choses qu’il ne faut pas dire. Le "pic oil" ne tient pas, il sert à nous faire tout accepter les guerre horribles géostratégiques et leur prix.
Nous sommes sans doute au bord d’une nouvelle période de transition mais qui n’est pas celle que tout le monde attendait. Maintenant que la capture des énergies renouvelables paraissait en vue et maitrisable ( solaire thermique et conservation de l’hydrogène par la voie des hydrures, d’autre part, pour les éoliennes ou les systèmes marins), la fusion froide semble pointer son bout du nez. Si ce qui est dit (internet et récemment Médiapart) est vrai, il s’agit d’un changement de paradigme extraordinaire.
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Un mauvais article mais une bonne vidéo.
L’auteur, lui, croit plutôt aux
énergies libres -
Là, c’est dans le compliqué.
On peut toujours retirer de l’énergie du mouvement de la nature mais les solutions sont rarement satisfaisantes car aléatoires, éloignés des lieux de consommation et sujettes aux événements exceptionnels.Les non physiciens doivent comprendre que lorsque le mouvement microscopique est isotrope, la résultante en mouvement est nulle mais il reste un effet qu’on appelle la température, ainsi, l’air de la maison a beaucoup d’énergie cinétique que la vague à 150 km de chez vous.Il faut donc inventer des systèmes qui puisent l’énergie directement sur le lieu de consommation ce qui évite tout transport électrique.Sur le site quanthomme, vous avez la liste de ces inventions mais ils appellent cela énergie libre ou énergie du point zéro, moi je dis entropie. Il faut éviter de froisser les scientifiques classiques en disant que ça viole la conservation de l’énergie, c’est faux. Le mouvement perpétuel est possible mais si vous exploitez le mouvement d’un système isolé, le dispositif va voir sa température chuter et va s’arrêter. Si le dispositif n’est pas isolé, vous avez une vraie pompe à chaleur.On peut appliquer cette théorie aux charges électriques et le potentiel énergétique est quasi infini par rapport à nos besoins. La science académique est assez bornée car ils sont passés à coté et ont postulé des théories qui sont des montages spéculatifs incomplets et inexacts. Ca arrive, ce n’est pas grave mais d’autres, certains d’avoir raison, ont créé des réseaux quasi mafieux pour s’accaparer les travaux particuliers considérant la science comme une oeuvre collective qui leur revient de droit car ils sont les meilleurs. Ceux là ne peuvent pas reconnaître qu’ils se sont trompés car ils volent les gens, je parle du CERN, du MIT, du GIEC et de tous les organismes supra nationaux qui font leurs propres lois et agissent comme des gestapo de la pensée, et qu’au final ils inversent les fins par orgueil. Comme ces gens remplissent les carnets de commande des multinationales Luxembourgeoises de Jean-Claude Juncker (sic), le système n’arrive plus à revenir de ses erreurs et là on tombe en pleine hypocrisie. On en arrive à construire ITER qui est un gouffre financier sans intérêt scientifique qui finira par polluer la Provence en explosant.Des fois, ça donne Jésus, des fois ça donne Noé, tout est affaire d’état d’esprit.-
C’est vraiment du charabia ton message.
Les non physiciens doivent comprendre que lorsque le mouvement microscopique est isotrope, la résultante en mouvement est nulle mais il reste un effet qu’on appelle la température, ainsi, l’air de la maison a beaucoup d’énergie cinétique que la vague à 150 km de chez vous.
En français ça donne quoi ?
Sinon, comme je vois que tu réfutes la science académique, je suppose que tu peux apporter des résultats expérimentaux qui la contredisent.
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