Jean-Pierre Chevènement : "l’Europe navigue sur un volcan"
Discours de clôture de Jean-Pierre Chevènement au Congrès du Mouvement Républicain et Citoyen, Paris, dimanche 27 juin 2010.
Il y parle de l’Europe et de la crise.
Tags : Europe Economie Politique
8 réactions à cet article
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Désolé, mais au bout de 2 minutes je tiens plus.
Il est trop soporiphique, son comas doit être contagieux !
Son cinema sur une France indépendante, alors que le ps veut une France à genoux, et que quoiqu’il arrive il ralira, une fois de plus.
Bon pépé prends tes cachets et au lit.-
C’est vrai qu’il est pénible à suivre même si le bon sens est de sont côté. Pour qu’une révolution réussisse il faut un tribum ... Mélenchon à côté c’est autre chose.
Et n’est pas Chavez qui veut !-
Chevènement.
C’est pas le mec qui a fait perdre la gauche en 2002 ? -
C’est l’un des derniers hommes d’état dans tout les sens du terme qui restent en France.
Certes , son discours ne porte pas sur les roms , arabes et autres noirs pour assouvir l’antropophagie de certaines petites cervelles., mais s’appuie sur des idées et des analyses d’un excellent niveau et d’une très grande intégrité intellectuelle.
L’art d’écouter peut valoir et parfois dépasser celui de discourir.-
Sauf que lui s’est un théoricien, et comme tel nul en pratique, un ministre de la défense qui démissionne quand sont pays est en guerre, quelle soit juste ou pas, ne mérite que le mépris.
Il surf sur l’aile droite de la gauche caviar, mais il n’a aucune conviction ni honneur, il est et restera un tocard, le "boulanger" du xxème siècle. -
Maréchal, Cheche a démissionné AVANT l’intervention en Irak, pas pendant. Et il a eu bien raison. C’était déjà une manipulation de Papa Bush qui nous mettait dans un conflit qui n’avait rien à voir avec nous. On s’en est bien rendu compte depuis. Au moins, il est pas comme Kouchner, il est resté fidèle à ses convictions même si je ne les partage pas toutes. Son idée de nation pour moi est un peu désuète et il ne prend pas assez la dimension mondialisation. Si on l’écoutait, on reviendrait au Franc, on fermerait les frontière etc.... Bref, il y a un sens de l’histoire qui est inéluctable, on rame pas à contre courant dans une rivière, on utilise la force du courant pour se diriger en aval.
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Désolé, mais j’ai une vision Romaine de la patrie et du devoir, la nation lorsqu’elle est devant un danger ou la vie de ses compatriotes est exposées se doit de ne faire qu’une, peut importe le bien fondée de l’action entreprise, faute de quoi tout est prétexte à trahir sa patrie.
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Le seul défaut de Chevènement est son manque de sourage choronique qui le fait revenir dans le giron socialiste à chaque élection.
C’est vraiment rageant de voir que ceux qui ont raison ne croient pas en leur bonne étoile et cherchent à modifier à la marge l’un des deux partis majoritaires.
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