• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile

Accueil du site > Tribune Libre > La révélation des pyramides : l’enquête qui change le monde

La révélation des pyramides : l’enquête qui change le monde

 Comme tout le monde, je pensais que tout avait été dit concernant la grande pyramide de Gyzeh. Jusqu'au jour où je découvris que des faits inexpliqués restaient ignorés par l'égyptologie. Alors j'ai enquêté, sans a priori ni préjugés. Je voulais seulement comprendre comment la grande pyramide avait été construite, mais cette quête m'a mené au-delà de ce que je pouvais imaginer. Tout ce qui va suivre repose sur des faits. Cette aventure vous conduira à travers le temps sur les sites archéologiques les plus anciens et les plus énigmatiques de notre planète, aux confins de l'origine de notre civilisation, pour enquêter sur le pourquoi de la grande pyramide de Gyzeh. Pour la première fois au monde, vous allez être les témoins directs d'une découverte majeure. Que vous adhériez ou non à ses conclusions, une chose est certaine : jamais plus vous ne regarderez notre planète du même oeil. 

 

Réalisé par Patrice Pooyard, 2010

Tags : Histoire Etonnant Egypte




Réagissez à l'article

143 réactions à cet article    


  • 31 votes
    Gollum Gollum 4 octobre 2012 12:11

    J’adore (ironie) le crétin qui a voté contre ce film prodigieux.. et superbement réalisé.


    La conclusion est sans appel. Dans une haute antiquité une très haute civilisation a dominé la planète entière et nous a laissé un message hallucinant qui est celui-ci : le devenir des civilisations est lié à des cycles cosmiques, ce qui donne crédit bien évidemment à la théorie des 4 âges indiens, où les 4 âges se terminent immanquablement par des destructions massives par l’eau ou le feu. L’astrologie est réhabilitée. Quand l’œil du Sphinx sera aligné sur Régulus, l’ère du Verseau commencera après une purge de notre planète par le feu. 

    Évidemment, les matérialistes vont détester ce film, car il annonce leur destruction prochaine. Il en sera de même des différentes confessions religieuses qui ne supportent pas par essence, que des révélations de cette ampleur leur échappent. Et pire, soit accessible à des profanes.

    La seule bonne nouvelle, c’est que certaines zones seront épargnées. Aux élus de découvrir lesquelles...

    • 1 vote
      Athene2011 4 octobre 2012 13:08
      "La seule bonne nouvelle, c’est que certaines zones seront épargnées. Aux élus de découvrir lesquelles..."
      B. scandiacus


    • 6 votes
      Famine(la grande) Famine 4 octobre 2012 13:15

      Pour se présenter à ces élections, combien de signatures requises ? Suffrage censitaire ou universel ? Peut-on s’auto-élire ? smiley


    • 4 votes
      guilhaume 4 octobre 2012 13:32

      "Certaines zones seront épargnées" Tous à Bugarach !!! :D


    • 5 votes
      Arsene Icke Arsene Icke 4 octobre 2012 13:43

      Bon alors c’est pour quand exactement ? quelqu’un a la date ?


    • 6 votes
      lsga lsga 4 octobre 2012 14:14

      Bon, ça se confirme : les satanistes, les sectaires, les adorateurs de démons : c’est à l’extrême droite qu’on les trouve. 



    • 9 votes
      Arsene Icke Arsene Icke 4 octobre 2012 15:24

      On attend maintenant plus que la livraison d’octobre d’Alain Soral et le bonheur sera total.


    • 3 votes
      pégou 4 octobre 2012 20:24

      L’auteur du bouquin dont est issu le film est donc Jacques Grimault :

      http://les-repas-ufologiques.blogspot.fr/2012/08/aux-repas-ufologiques-de-paris-jacques.html

      J’y ai assisté une fois, la poilade .


    • 4 votes
      arpontar 5 octobre 2012 10:19

      en BRETAGNE nous le saurons grace a nos "druides" qui diront quand la "ville d’ys va ressurgir

      des océans" et "par..is" etre noyée par les flots (paris sodome...gomhorre)

      habitant a 10 et 20 kms des 2 sites sensés etre au dessus de la VILLE D YS

      JE VEUX BIEN ALERTER MEME LES PARISIENS ......... PARIS QUI ACCUEILLE LES PIEUVRES ou mafias corrompuesQUI

      NEGLIGENT LES PROVINCES.......mafias politiques...medias...show business qui merient de ne pas etre sauves.....


    • 13 votes
      Captain Captain 4 octobre 2012 12:22

      Les pyramides et le chiffre d’or : le sujet préféré des francs-maçons ! smiley


      • 14 votes
        Qaspard Delanuit Gaspard Delanuit 4 octobre 2012 13:26

        C’est plus exactement le sujet préféré de ceux qui s’intéressent au francs-maçons.


      • 8 votes
        lsga lsga 4 octobre 2012 14:18

        non mais sans rire, l’Extrême Droite doit fournir le gros des crétins qui vont s’inscrire dans les sectes.

        Leur Leader les fait passer de l’Ultra Libéralisme à un néo-communisme, de l’anti-sémitisme au Sionnisme, etc. etc.


        pas étonnant qu’après les mecs croient tout et n’importe quoi..

      • 21 votes
        Zowie elfableo 4 octobre 2012 23:48

        bon, ça va 5 mn avec l’extrême droite , Isga , ça n’a rien à voir avec le sujet . on peut s’intéresser aux mystères des pyramides sans forcément être un neu neu d’extrême droite . 

        faudrait essayer d’élever un peu le débat ... au dessus de ce cirque politique . 

      • 6 votes
        Famine(la grande) Famine 5 octobre 2012 00:04

        Merci Falbala. Un gars avec deux spirales d’or à la place des yeux est de toute façon mal placé pour se moquer des égyptologues amateurs. héhéhé 


      • 2 votes
        lsga lsga 5 octobre 2012 09:36

        c’est pas de ma faute si ’famine intellectuelle’ est un crétin d’extrême droite qui croit les premières conneries satanistes venues sur les pyramides...


      • 1 vote
        arpontar 5 octobre 2012 10:25

        il faut quand meme pas voir des FACHOS DE L UMPFN partout

        aucun de leur membre débile n’a été momifié...vivant...ils le mériteraient autant que les

         "salafistes".....CEUX PAR QUI LE FEU NUCLEAIRE .....ARRIVE..............SI ROMNEY LE FOU

         MORMON EST ELU


      • 10 votes
        Monsieur M 4 octobre 2012 12:38

        Une première partie d’introduction trop longue qui ne nous apprend pas grand chose et une seconde plus intéressante ....je ne parle pas des 15 dernières minutes qui déraillent totalement : Aucune preuve concrète qui permette d’adhérer à cette hypothèse farfelue.
        .

        @ Gollum  : j’ose espérer que ton message se situait aux abords du second degré.
        L’esprit critique à l’égard de la communauté scientifique est une très bonne chose ..essayons maintenant d’être tout aussi critique vis à vis de ce doc.
        .

        Sinon ; est il possible encore aujourd’hui de proposer un documentaire sans y ajouter des effets de styles dramatisant et une musique de type ciné .
        Je trouve personnellement que cette approche cinématographique tue le sérieux.


        • 20 votes
          Gollum Gollum 4 octobre 2012 12:50

          Non ce n’était pas du second degré. Ca fait déjà 4 crétins. Il y en aura d’autres.


          Quant à cette phrase : "Une première partie d’introduction trop longue qui ne nous apprend pas grand chose" 

          là j’hallucine ! car au contraire cette première partie montre bien que les hypothèses de l’égyptologie classique ne tiennent pas la route une seule seconde.

          Quant à la conclusion de la seconde elle heurte tellement les convictions acquises jusqu’ici que je conçois que cela choque. Mais ces conclusions on peut y arriver par d’autres moyens.

          Je répète que je n’avais jamais vu un documentaire aussi bien fait sur la question. Et très mesuré dans son expression, tout en étant implacable dans sa conclusion.

          Mais il n’y a pas pire sourd que celui qui ne veut pas entendre..

        • 5 votes
          Haze Haze 4 octobre 2012 12:59

          Sans une approche cinématographique personne ne s’intéresse aux reportages.
          Écouter quelqu’un parler pendant 2 heures ... quelle horreur ! La musique est la pour tenir les gens éveillés, garder tant que possible leur attention.
          C’est pareil pour les films, rediffusez 2001 l’Odysée de l’espace au cinéma, vous trouverez la moitié de la salle endormie à la fin haha


        • 13 votes
          Monsieur M 4 octobre 2012 13:20

          @ elmi  : c’est juste ridicule comme exemple .On peut trouver un compromis sans etre chiant au possible.
          @ Haze :
          Il est bien dommage de devoir faire du spectaculaire pour interresser. Pas la peine de s’etonner si on passe pour des clampins quand on parle de ce genre de chose

          @gollum

          Désolé mais oui la première partie je l’ai trouvé basique car j’ai déjà lu et vu sur ce sujet un paquet de fois.
          Sinon je ne suis pas aveugle et sourd ..seulement mesuré ce qui n’est absolument pas ton cas Gollum
          Je n’oublie pas que l’on nous a fait longtemps croire que la terre était plate ou que la vie était impossible ailleurs que sur terre.
          Certaines choses méritent effectivement une autre approche mais ne tombons pas non plus dans la facilité de croire tout ce qui se dit sur ce docu .
          je vois l’esprit critique fonctionner à plein regime à l’encontre de la communauté scientifique mais absolument pas à l’encontre de ce doc . Et ça c’est grave.


        • 16 votes
          Qaspard Delanuit Gaspard Delanuit 4 octobre 2012 13:34

          Je ne trouve pas ce film excessivement sensationnaliste, il y a un peu de mise en scène, mais c’est la règle du genre si l’on veut retenir l’attention du public. Je pense aussi qu’il était nécessaire de commencer par la base, car tout le monde n’a pas votre connaissance du sujet, Monsieur M. Je dirais qu’il est plus intéressant pour les questions qu’il pose que pour les réponses qu’il apporte, mais qu’il sépare assez honnêtement les faits qu’il expose des hypothèses qu’il avance à la fin. 


        • 7 votes
          Gollum Gollum 4 octobre 2012 13:54

          Certaines choses méritent effectivement une autre approche mais ne tombons pas non plus dans la facilité de croire tout ce qui se dit sur ce docu . 


          Il ne s’agit pas de croire. On peut contester la conclusion. C’est pourtant cette conclusion qui est la conséquence logique de tout ce qui a précédé. C’est pour cela d’ailleurs que ce documentaire est exceptionnel. D’autant comme je l’ai dit que cette conclusion, on peut l’obtenir par d’autres voies..

          Mais encore une fois je comprends que cela vous chiffonne. Il n’est jamais agréable de se voir annoncé sa fin prochaine... et l’envie de tout balayer d’un revers de main doit en démanger plus d’un.

        • vote
          Monsieur M 4 octobre 2012 14:21

          @ elmi
          Désolé je pensais que tu te payais ma gueule à la base pour me prouver à quel point on pouvait donner un fond chiant à un docu
          Cela dit je ne comprend pas bien l’anglais ce sera donc un peu dur pour moi


        • 9 votes
          maQiavel machiavel1983 4 octobre 2012 16:49

          @monsieur M

          Je n’ y connais rien et les 15 premières minutes m’ ont montré combien les Égyptologues étaient peu rigoureux et buté... pour un ignare comme moi , c’ est utile !

        • 5 votes
          bebol bebol 5 octobre 2012 12:22

          Celui qui connaît l’un ou l’autre sujet trouve nécessairement long et inutile un démarrage sur des rappels simples. Mais tout un chacun n’est pas un expert en la matière. Donc, personnellement, je n’y vois rien à redire. Ce qui n’est pas le cas concernant la mise en scène et l’excès d’effets sonores et musicaux. C’est effectivement efficace pour retenir l’attention des "habitués de la télé", mais pour ceux qui ne le sont pas, c’est un peu agaçant.
           
          Quant à l’hypothèse même : pourquoi cette civilisation ancienne et détentrice d’une technologie et d’une science avancée se serait-elle efforcée de vouloir prévenir les civilisations futures ? Pourquoi vouloir prévenir celles-ci en faisant usage d’une méthode à tout le moins difficile à saisir, difficile même seulement à appréhender correctement ? Quelle serait cette civilisation ? Pourquoi une telle civilisation, qui aurait été capable de produire de telles architectures capables de traverser le temps, n’aurait-elle pas été capable de laisser autre trace d’elle-même ?
           
          Le documentaire n’est pas inintéressant. Mais il est très long pour ce qui en fait son intérêt. Et il me semble passer outre différentes questions cruciales...


        • 2 votes
          oim75 14 novembre 2012 00:24

          Pour commencer, si ce reportage tenait pour acquis un certain nombre de dogmes sans démontrer point par point le pourquoi du comment il se contredirait tout simplement, là on a quelqu’un qui nous explique que les scientifiques apprennent à l’école, puis répètent en levant le menton des choses qu’ils pensent acquises et qui sont bien souvent des approximations, des raccourcis ou des théories non démontrées mais qui faute de mieux deviennent des faits ne nécessitant plus de discussion ni de démonstration. 

          Voilà donc un reportage qui explique tout de A à Z, en précisant lorsqu’on parle d’hypothèses, de choses invérifiables, de choses acquises etc.
          Sur les questions que tu te poses du pourquoi tant de mystères, pourquoi vouloir nous prévenir, pourquoi il ne reste rien. 
          C’est pourtant si simple et évident : Que faisons-nous actuellement ? Que fait notre civilisation ? Elle a envoyé une plaquette dans l’espace avec des dessins et on écrit des trucs, on laisse des traces sur des disques durs (traces magnétiques qui ne dureront pas bien longtemps), des cd (indéchiffrables sans utiliser la bonne technologie). Qu’ont ils fait à leur époque ? des dessins et énormément d’écrits qu’on ne sait évidemment pas déchiffrer sans extrapoler.
          Ils avaient apparemment une connaissance avancée en astronomie et ses phénomènes associés, ils ont créé un site servant "d’horloge", qui nous dit que c’était pour nous prévenir ? On en fait bien des horloges, des cadrans solaires, on écrit des livres pour expliquer aux générations futures noter savoir, c’est pas obligatoirement pour nos hypothétiques descendants dans 2000 ans.
          Et puis plus pragmatiquement, que sait-on des connaissances de notre civilisation ? Les américains ont soit-disant été sur la lune, mais la nasa a été forcée d’avouer des années et des années après que les clichés étaient des montages car la technologie de l’époque ne les auraient pas permis. On va continuer à leur faire confiance quand-même ?
          Si des gens savent quelque chose de plus que nous concernant la fin d’un cycle et la manière d’y échapper tu peux être sûr et certain qu’on ne nous informera jamais et qu’ils se garderont l’info et les moyens d’y échapper bien entre eux et leurs enfants...tiens ça ne rappelle rien à personne ?!
          Honnêtement quand on voit que dès que de l’argent entre en jeu les hautes instances sont manipulées (médicaments, agroalimentaire etc) il faut être d’une naïveté folle pour se fier à ce qu’on nous dit.

        • 16 votes
          Slift Slift 4 octobre 2012 12:52

          Excellent documentaire.


          • vote
            lsga lsga 4 octobre 2012 14:16

            la pile était utilisée pour truquer les balances sur les marchés... 

            elle n’indique pas que les babyloniens maîtrisaient l’électricité... 




          • 2 votes
            Oursquipense Oursquipense 4 octobre 2012 14:39

            Ce qui semble intéressant à discuter est surtout le fait que des constructions cyclopéennes datant de plusieurs millénnaires, réalisées sans ciment, sont toujours debout. Le fait qu’elles soient alignées de manière telle qu’on ne s’en rende compte que depuis l’invention des satellites est sans doute mineur.

            Soyons juste logique : pourquoi et comment une technique de construction anti-sismique a-t-elle été perdue ? Et corollaire à cette question : comment une civilisation capable de crééer de telles choses n’a-t-elle pas pu survivre ? En tout cas, même si ça ne concerne que d’énormes constructions, on devrait avoir pertinemment comment construire des édifices qui résistent aux tremblements de terre. A moins que l’on conteste les datations des constructions évoquées dans le reportage.


          • 15 votes
            guilhaume 4 octobre 2012 16:57

            Isga, vous avez oublié de mentionner l’extrème droite dans votre post... C’est rare un tel oubli de votre part.


          • 14 votes
            An Ankoù 5 octobre 2012 15:01

            Elmi, merci d’avoir mis ce lien sur l’hypothèse astrologique des représentations pariéatles. Cela sert le propos que je souhaite vous livrer.

            Déjà, j’ai été particulièrement intéressé par cette vidéo. Je la trouve trop sincère pour en balayer les arguments d’un simple coup de plume, d’une boutade ou d’une raillerie. Et je suis totalement d’accord pour considérer qu’il ne faut pas sous-estimer les connaissances de nos ancêtres.

            L’astronomie nous semble une science ultime ? : on ne s’intéresse au ciel que quand on a réglé les affaires terrestres. Nos urgences sont « ?terre à terre ? ». L’espace nous semble le dernier des terrains de conquête, et par conséquent, la science astronomique, la dernière née des sciences.

            Il est beaucoup plus probable que ce soit la première.

            D’abord, parce que l’homme le plus préhistorique est peut-être très occupé en journée, mais qu’il n’a pas grand-chose à faire de ses nuits que regarder le ciel. Et si la terre lui semble chaos, le ciel lui semble le lieu de l’ordre et de la régularité ? : les étoiles sont toujours à la même place les unes par rapport aux autres, sauf quelques unes qui se baladent. A défaut d’autre chose. Il y a le soleil, visible, bienfaiteur, qui rythme la journée. Et l’évolution de la course du soleil qui rythme l’année, autour de quatre évènements marquants ? : les solstices et les équinoxes. Il y a la lune et ses phases, qui rythment les semaines et les mois. Il y a les planètes, leur course mystérieuse. Il y a les étoiles les plus proches de l’axe de rotation de la terre, qui, par leur fixité apparentent, semblent l’articulation du ciel et un guide directionnel permanent.

            Et rien d’autre à faire, les nuits d’insomnie, qu’à contempler cet ordre.

            Or, si l’homme se caractérise par un cerveau, celui-ci possède une qualité qui est aussi son principal défaut, et peut-être sa malédiction ? : il cherche du sens, mécaniquement, irrésistiblement, au point, même d’en trouver dans à peu près n’importe quoi.

            Et donc, oui, le Ciel commande aux choses terrestres ? : la lumière, évidemment, mais aussi les saisons, les migrations animales, les étés et les hivers, les marées… Bien avant que l’homme sache mesurer le temps d’une journée il savait que regarder le ciel l’aidait à comprendre les choses terrestres et les chaos du monde.

            On nous annonce comme une grande nouvelle que l’homme, du temps des bâtisseurs, connaissait déjà l’astronomie. Les auteurs du reportage seraient sans doute bien étonnés de savoir qu’avant même d’empiler des pierres les hommes regardaient déjà le ciel en quête de sens et de règles pour leur vie.

            Le lien de Elmi fait, je crois, référence à des travaux un peu décriés par la communauté scientifique, eux aussi, d’une chercheuse française dont le point de vue semble partioculièrement intéressant, et pas très étonnant quand on cherche à se mettre dans la peau d’un homme préhistorique plus curieux que mystique ? : l’hypothèse que les peintures pariétales sont des zodiacs et qu’elles figurent dans des grottes précisément choisies pour l’orientation de leur ouverture vers le levant ou le couchant du soleil aux équinoxes ou au solstice.

            Ces peintures ont donc le même alignement que les pyramides, et peut-être la même fonction première ? : servir de calendrier et de carte du ciel, bref, de traité d’astronomie et d’astrologie. Et si ça se trouve, il n’y a même aucune démarche de dévotion mystique là dedans. J’y reviendrai.

            Cette préoccupation préhistorique est probablement la même à tous les points de la planète. Tous regardent les mêmes choses, font les constats des mêmes points particuliers du ciel et orientent sans se concerter, leurs constructions en fonction de cet ordre céleste commun à tous. Pas de coïncidence ni de partage des connaissances, mais juste des causes identiques produisant des effets identiques.

            Pour ce qui est d’aligner les bâtiments et tirer des droites extrêmement précises, sans dire que c’est facile, on sait qu’on améliore la prévision en prenant un repère lointain. Or, il n’y a pas plus lointain qu’une étoile. A défaut de la précision d’une visée laser, il y a forcément la possibilité de se baser sur la visée des astres. Je ne connais pas les méthodes de travail des égyptiens, mais ils pouvaient effectivement prendre des repères de projection de jour sur le soleil et de nuit sur les étoiles, repères aussi éloignés qu’il est besoin. Pour le soleil, en quelques années d’observation seulement, on peut savoir que les variations de sa course peuvent être corrigées en prenant les solstices et les équinoxes comme points de repère, ce qu’on sait faire, semble-t-il dès le Magdalénien.

            Cela peut expliquer non seulement la précision des alignements mais également les liens que les bâtiments ont « ?par construction ? » avec les astres. Je serais même tenté d’avancer qu’il n’y a ni symbole, ni mystique, ni message, ni superstition, ni quoi que ce soit de représentation divine dans les constructions ? : le rapport aux astres s’explique parce que les astres sont l’outil de construction, au même titre que l’équerre, le fil à plomb ou la corde à nœuds.

            Pas besoin de chercher midi à quatorze heures, si j’ose dire ? : si la voute céleste est un outil de construction, il n’y a pas lieu de chercher un message « ?cosmique ? » qui lie les civilisations par une culture commune ou par une transcendance mystique. Ce ne sont que nos préjugés qui nous le font croire, nos propres préjugés sur ces époques reculées, nos doutes sur eux et nos fausses certitudes sur nous-mêmes, qui nous poussent à affubler nos ancêtres de motivations mystiques ou superstitieuses.

            Pour ce qui est des outils et des techniques, il y a effectivement des savoir-faire perdus, et c’est bien dommage. Il n’empêche que le feu et la roue ne nécessitent pas une transmission orale pour être appréciés en de nombreux endroits de la planète.

            Il est certain que, pour tailler des statues, les égyptiens n’avaient pas les outils informatiques pour tracer des cercles sur des formes en volume. Bon. Ce n’est pas comme si c’était très compliqué de placer une source lumineuse dans un cercle pout projeter une lumière circulaire sur une statue. Rien n’est plus facile à projeter qu’un cercle. Un carré serait plus difficile. Il ne reste plus qu’à enlever les parties qui sont dans l’ombre. Ce procédé de projection peut être d’une précision millimétrique. Il permet également de reproduire le même modèle à droit et à gauche, ce qui explique la symétrie. Il vaut pour des projections faciales et latérales. Les jeux sur la distance de la source lumineuse et le pochoir peuvent, avec des rapports simples, produire des résultats mathématiques compliqués et savants, sans même que l’artiste ait la moindre idée d’une science mathématique. Et ce n’est que la suggestion d’un profane sur un point seulement des techniques.

            Après, je n’ai effectivement pas d’explication sur la forme des pierres, leurs mode de taille et leur agencement au millimètre. Je n’exclue pas qu’il puisse y avoir néanmoins, d’une part, des raisons logiques et des techniques simples susceptibles d’avoir fait leurs preuves d’un bout à l’autre de la planète, et d’autre part des techniques perdues, mais néanmoins accessibles à des personnes qui n’ont pas toutes nos sciences et notre technologie. Le fait que cela se soit perdu ne signifie ni que ce soit rare et compliqué, ni que cela puisse ne pas réapparaître ailleurs après une période d’oubli, ou découvert en des lieux différentes à des dates différentes. Le fait que nous-mêmes préférions employer d’autres techniques ne prouve rien, sinon que finalement, il n’y avait pas qu’une seule solution pour construire des œuvres monumentales.

            Il me semble que, sans rien retirer de la bonne foi du reportage, je peux démystifier un peu la question mathématique. Le nombre d’or est un nombre. Il n’est pas « ?magique ? », mais il a des propriétés intéressantes. Et pas qu’une seule. C’est la proportion « ?idéale ? » d’un rectangle qui, lorsqu’on l’ampute d’un carré, conserve la même proportion. C’est aussi, quand vous dessinez une étoile à cinq branches en cinq traits, le rapport entre la longueur du trait et la longueur de la branche. Il y a ainsi des milliers de propriétés de ce nombre et des milliers de lieux en lesquels ils se trouve. Chacune de ces propriétés peut avoir son utilité esthétique propre. Chacune de ces propriétés est l’occasion de tomber sur ce nombre en cherchant cet effet esthétique, et sans même savoir qu’on tombe dessus, a fortiori sans savoir le calculer à la cinquième décimale. Mais dès qu’on tombe dessus, même pour l’une seulement de ses propriétés, on a automatiquement toutes les autres avec, qui sont contenues dans ce nombre. C’est mathématique. Donc, on pourra effectivement tracer des cercles et des carrés, les décaler, les reporter et mettre en évidence toutes les propriétés du nombre d’or. L’auteur de l’œuvre n’a nécessairement pas voulu qu’elles s’y trouvent toutes ? : il n’a cherché qu’un effet esthétique qui l’obligeait à tomber dessus, mais effectivement, un savant qui analysera son travail trouvera les cent ou les milles propriétés du nombre d’or dans cet agencement et en concevra sans doute un respect immense pour la « ?science ? » de l’artiste.

            Pareil pour Pi. Tendez une corde à un piquet et tournez autour du piquet ? ; prenez une autre corde et mesurer votre cercle avec ? : le rapport des deux cordes est pi. Vous n’êtes pas mathématicien et vous avez déjà votre rapport avec une précision suffisante pour faire de jolies choses. Il faudra peut-être attendre des centaines de générations pour qu’on puisse calculer la millième décimale de Pi, mais vous avez vos cordes. Rien de magique, ni de compliqué, et n’importe qui peut en faire autant d’un bout à l’autre de la planète sans pour autant vous connaître. Il se trouve qu’on trouve pi dans de nombreuses figures et dans de nombreux volumes. Ce n’est pas parce qu’on utilise plusieurs d’entre eux que l’on sait quel lien intime ils entretiennent avec Pi.

            Bref, Pi et le nombre d’or sont des rapports compliqués à comprendre et impossible à calculer avec une précision totale, mais facile à utiliser, et qu’on peut même mettre en œuvre sans même connaître ni la valeur exacte ni toutes les propriétés.

            Poussons un peu plus loi sur les notions de mesure. Il faudrait évidemment qu’on ait plus de précision sur les études menées. Les démonstrations esquissées dans le documentaire sont indiquées à l’état d’esquisses. L’auteure se reconnaît elle-même assez profane en mathématiques. Il est possible que, de bonne foi, elle ait commis par mégarde le tour de passe-passe involontaire consistant à déduire la validité d’une unité de mesure à partir des rapports entre les choses mesurées. Or, deux choses mesurées en mètres ont le même rapport si on les mesure en Yard ou en coudées.

            Si les rapports sont pertinents, signifiants, instructifs, les unités de mesure sont, elles, parfaitement indifférentes. Si je voulais retenir que les Egyptiens anciens ont établi le mètre, j’en serais très content, ne serait-ce que par la gifle que se prendrait dans la figure les anglais et leur système de mesure. Je n’imagine pas que les égyptiens aient pu avoir la préscience de notre rivalité avec la perfide Albion ni nous donner cet avantage insigne.

            S’ils ont réussi à le faire, c’est qu’ils ont des connaissances effectivement fabuleuses, bien plus impréssionnantes encore que le reportage ne l’évoque ? : songez que non seulement ils auraient prédit le mètre, mais également la seconde, puisque c’est en milliers de kilomètres par seconde que s’exprime la vitesse de la lumière. Les bâtisseurs seraient beaucoup plus que des génies. A supposer que l’immense précision relevée sur une unité de mesure totalement arbitraire témoigne d’un immense mystère inexplicable par le hasard, une précision identique sur la mesure du temps élève ce mystère au carré. Sauf que du coup, c’est tellement incommensurable qu’il redevient crédible de préférer, en toute rationalité, une explication par la coïncidence.

            Il reste également à relativiser le mystère du positionnement des constructions sur le globe et de leur alignement. On notera que le tour du globe qu’on nous propose dans la deuxième partie dessine plutôt une bande qu’une ligne, ce qui peut étonner de la part de bâtisseurs capables de tant de précision sur leurs alignements. Je veux dire par là que le reportage lui-même a cette honnêteté de reconnaître que l’alignement n’est pas parfait, même s’il reste, statistiquement spectaculaire.

            On objectera qu’une carte du monde de présente pas non plus une probabilité égale que se développent des civilisations de bâtisseurs sous toutes les latitudes. Ce sont des civilisations où l’élevage et l’agriculture ont tellement bien résolu les problèmes de subsistance alimentaire qu’une partie importante de la population peut se consacrer aux échanges, à al guerre, à la diplomatie, au commerce, aux jeux, aux arts, aux divertissements, aux cultes, et à la réalisation de bâtiments. Ce très haut degré de civilisation nécessite des conditions géologiques et climatiques qu’il n’est pas étonnant de trouver à des latitudes à peu près identiques le long du globe. Il y a de quoi concentrer naturellement les sites aux endroits où on les trouve, et leur alignement ne résulte peut-être que de ça.

            Certes, il existe un site au moins qui semble fort excentré part rapport à tout ça ? : l’île de Pâques. Sans malignité aucune, j’observerai que déjà, dans un plan, deux points sont toujours alignés. De même, à la surface d’une sphère il y a toujours un plan qui relie trois points, et donc la possibilité de dessiner une carte en deux dimensions qui fasse apparaître ces points comme alignés. Il n’était donc pas si sensationnel que ça de tracer cette droite entre les pyramides à degré, l’île de Pâques et la pyramide de Khéops. Je n’y vois pas de malveillance, mais juste l’expression de cette tentation du merveilleux et du sensationnel.

            C’est là où je vois l’immense apport de ce reportage entre autres recherches ? : j’approuve sans réserve qu’il nous nous oblige à faire dégraisser nos visions historiques de nos préjugés. Et justement ? : projeter une motivation mystique, cosmique, religieuse, ne rend pas nécessairement compte de l’intelligence de ces ancêtres, qui n’étaient probablement pas assez sots pour croire à leurs légendes, leurs mythes et leurs fictions explicatives du monde. Il n’est donc même pas certain qu’ils mettaient une majuscule à Ciel. Probablement même concevraient-ils comme une sordide régression de la civilisation, l’idée qu’on puisse se foutre sur la gueule pour avoir caricaturé un prophète.

            Avec quelques correctifs parfaitement intelligents et bienvenus sur notre façon d’appréhender le haut degré des civilisations qui nous précèdent, il me semble qu’on peut lever la plupart des mystères évoqués, sans pour autant recourir aux Dieux, aux extraterrestres ou aux Atlantes. Pas tout, en effet, mais la plupart. Je ne déteste pas l’idée qu’il reste une part de mystère et de merveilleux, ne serait-ce que pour qu’on continue à Disons s’aiguiser l’esprit, à motiver nos curiosités et intéresser assez ceux qui tiennent les cordons de la bourse, pour financer les campagnes de recherche.

             ?


          • 9 votes
            karim de leviela 5 octobre 2012 18:34
            Si la visée vers une étoile permet effectivement une grande précision, la réalisation est une toute autre paire de manche, car un décalage de moins d’un dixième de millimètre, entraîne une énorme erreur ! 

            J’ai déjà commenté l’aspect mathématique dans un autre post, car je me suis bien pris la tête avec, et il n’est pas très honnête de ta part de parler de proportions, et de faire passer l’histoire du mètre pour une conséquence logique : il faut distinguer d’un côté les opérations en proportion — sur le “modèle”, la forme même de la pyramide, et donc indépendamment des unités de mesures — et les opérations en coudées et en mètres. L’hypothèse de l’artiste qui par hasard inclut dans son oeuvre des constantes mathématiques est justement la fameuse “brosse Adam” (sic). Or le problème, et il m’a fallu pas mal de travail pour comprendre ça en passant et repassant cette partie — ce que je reproche à ce film — c’est qu’on a la forme de la pyramide, la chambre haute, et les histoires de hauteur — visible et totale — qui jouent, en proportion, avec Pi et le nombre d’or, ce qui fait déjà trois beaux hasards d’artistes. Mais ensuite, ils auraient pu faire une pyramide de 200 mètres de côtés — en réalité, pas en mètres, mais en coudées — ou 250 mètres, mais ils ont pris, PAR HASARD, une longueur, qui fait que les rapports de dimensions donnent encore Pi et le nombre d’or, chose valable pour la forme de la pyramide, la chambre haute et les hauteurs totales et visibles : 3 hasards de plus !

            C’est ce qui a achevé de me convaincre, non pas qu’elle avait été livrée clés en main par des extraterrestres — dont d’ailleurs il n’est aucunement fait mention dans ce film — mais que le plan avait été soigneusement réfléchi pour faire figurer ces valeurs, ce que dit un des intervenants. Et ensuite, elle a été réalisée, chose on ne peut plus concrète, dans du calcaire et du granite, ce qui n’est assurément pas une chose aisée, même si on veut honorer son Dieu, son pharaon, qu’on est mu par une volonté de perfection, etc. Gilles Dormion, un architecte apparemment pas versé dans la thèse du film, dit que la coudée que l’on peut déduire de la chambre haute est de 52cm35… 52 centimètres et 35 dixièmes !!! Avec des blocs de granite variant d’une dizaine de tonnes à 70 tonnes, assemblés au dixième de millimètre ??? Et comme par hasard, cette coudée peut s’obtenir par la formule suivante : Pi — le nombre d’or = coudée !!!

            Là, je me suis dit qu’il y a avait un os, et de taille. 

            Alors je ne prends pas pour argent comptant tout ce qui est dit — certaines choses me paraissent plus que futiles ou tirées par les cheveux — mais la mauvaise foi de ces “spécialistes”, hautain et méprisant comme l’est Adam vis à vis de cette “journaliste”, alliée à ces problèmes très concrets d’assemblages plus que complexes un peu partout sur notre belle planète, me laissent perplexe, et humblement, eu égard aux quatre milliards et demi d’années d’âge de la Terre, et à la durée relativement courte de notre civilisation, j’ai la faiblesse de penser que nous ne sommes peut-être pas les premiers êtres humains technologiquement évolués à nous y promener… 

            Mais dans le fond, à part les Créationnistes et autres religieux intégristes, qui cela peut bien déranger ? Je ne vois pas pourquoi cela susciterait la colère, le mépris ou l’indifférence… à moins que “cela ne heurte les croyances, même de ceux qui s’en prétendent détachés” : il me semble que là réside tout le coeur du problème.

          • 2 votes
            Arsene Icke Arsene Icke 4 octobre 2012 13:21

            Génial !!!


            • 13 votes
              Qaspard Delanuit Gaspard Delanuit 4 octobre 2012 13:22

              Ce documentaire est passionnant et bien réalisé. Je trouve cependant la conclusion un peu minimaliste et s’emboîtant trop parfaitement avec une angoisse contextuelle (la fameuse fin du monde). Une civilisation technologique terrestre a précédé notre préhistoire et il en reste des traces, cela me semble une hypothèse admissible. Le reste est plus rocambolesque. Je n’ai par ailleurs jamais compris ce qu’il y avait d’effrayant dans l’idée d’une destruction complète de notre civilisation car :


              1. Chacun de nous sera de toute façon mort de sa mort personnelle dans quelques années ou quelques dizaines d’années. Mourir écrasé dans sa voiture, dans un lit d’hôpital ou dans une explosion de la planette, quelle différence ?

              2. Qu’est-ce qu’il y a de si formidable dans notre civilisation qui mériterait un effort pour le "conserver". Aucun monument n’est plus beau que la vague géante qui l’engloutira. 

              • 8 votes
                Gollum Gollum 4 octobre 2012 13:48

                Qu’est-ce qu’il y a de si formidable dans notre civilisation qui mériterait un effort pour le "conserver". 


                Je ne crois pas que le but soit la conservation de notre civilisation. Mais d’informer une élite sur ce qui nous attend et d’agir en conséquence. Les autres, la très grande majorité, seront engloutis. C’est toujours comme cela que ça se passe dans les apocalypses.

              • 8 votes
                Loki Loki 4 octobre 2012 14:22

                @Gollum exact et m’est avis que cette "élite" connait depuis longtemps le sujet traité dans ce documentaire, qui étaient les bâtisseurs de Cathédrales et leurs architectes ? Pourquoi nombre de monuments égyptiens dans nos capitales d’Europe ?

                Et à mon humble avis... cette "élite" est déjà prête à se mettre aux abris elle et les siens, quand le phénomène cataclysmique arrivera...

                De façon brutale certainement...

                Le seul point avec lequel je ne suis pas d’accord avec le reportage, c’est l’affirmation sur l’inversion des pôles dont personne à priori ne connait le phénomène autrement que par des théories spéculatives...

                Pour le reste du reportage, je l’ai trouvé magnifique également...


              • 14 votes
                Oursquipense Oursquipense 4 octobre 2012 13:58

                Ce que je trouve fascinant c’est surtout la fausse démarche scientifique..des scientifiques établis, je précise. Et leur peu de curiosité finalement. C’est consternant. Si la réalité est que l’on a, par exemple, affaire à des vases d’une réalisation parfaite et que le seul intérêt des scientifiques "reconnus" est de regarder ce qu’il y a dans le vase plutôt que de savoir comment il a pu être fabriqué on a la transcription littérale de l’adage "Quand le sage montre la lune, l’idiot regarde le doigt".


                • 12 votes
                  maQiavel machiavel1983 4 octobre 2012 16:53

                  Ces scientifiques sont consternant ... on a l’ impression qu’ ils ont peur de quelque chose !


                • 4 votes
                  borowic borowic 4 octobre 2012 14:11

                  Film tres professionnel mais je ne comprends pas comment une ligne passant par le Perou et l Egypte puisse survoler la Thailande ?????


                  Ce film a le merite de bien montrer que l on ne sait pas grand chose des anciens et ce que l on nus presente comme un savoir n est en fait qu une somme d hypotheses, sur son message predictif je suis bien plus sceptique



                  • 5 votes
                    Arsene Icke Arsene Icke 4 octobre 2012 14:29

                     :"je ne comprends pas comment une ligne passant par le Perou et l Egypte puisse survoler la Thailande ?????"
                    Étrange en effet. Tu devrais peut-être en parler à Cecile Duflot ...



Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON


Publicité





Palmarès