Le Pr Christian Perronne serait de plus en plus censuré : "la médecine est soumise à des diktats autoritaires"

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Traduction :

Que pensez-vous de cela ?

Eh bien, vous avez entendu tout à l’heure qu’il n’y a pas de réelle inquiétude à propos de l’aluminium parce qu’il s’agit d’une si petite quantité qu’elle ne devrait pas avoir d’importance.

Mais le type d’aluminium que nous mettons dans les vaccins est un type d’aluminium différent de celui que nous voyons dans l’environnement.

C’est ce qu’on appelle une nanoparticule, et les nanoparticules se lient très étroitement aux antigènes bactériens, aux antigènes viraux, aux antigènes protéiques alimentaires et à tout autre contaminant contenu dans les vaccins et que nous ne connaissons peut-être pas. Et nous savons que les propriétés biochimiques des nanoparticules sont qu’elles sont capables de pénétrer dans le cerveau.

Nous n’avons donc pas évalué la sécurité de la nanoparticule d’aluminium, de son injection, de sa destination dans le corps et de son éventuelle pénétration dans le cerveau.

Les ingrédients des vaccins ont-ils leur place dans le cerveau ?

Non

Pénètrent-ils dans le cerveau ?

Personne ne l’a jamais étudié. Mais des études sur des animaux utilisant les mêmes produits chimiques que ceux contenus dans les vaccins que nous donnons aux enfants démontrent directement que les ingrédients des vaccins pénètrent dans le cerveau.

Nous ignorons cette information.

Des scientifiques européens ont mené des études sur les nanoparticules d’aluminium et ont montré qu’elles pouvaient persister dans le cerveau pendant des années et des décennies.

Et donc ce que nous voyons, c’est une grande épidémie de troubles du développement neurologique et d’adultes, y compris la maladie d’Alzheimer.

Et l’un des principaux facteurs qu’ils trouvent dans le cerveau des personnes atteintes d’Alzheimer est la nanoparticule d’aluminium qui est indirectement liée aux vaccins que nous administrons.

Nous n’avons jamais étudié si l’aluminium que nous donnons dans les vaccins pénètre dans le cerveau.

Et nous n’avons jamais mesuré s’il reste dans le cerveau et ce qu’il fait s’il reste dans le cerveau.

Mais nous savons que les vaccins sont censés provoquer des inflammations dans le corps.

Mais plus de la moitié de nos enfants souffrent d’une inflammation chronique et nous ne nous sommes jamais permis de nous poser la question suivante : si les vaccins provoquent une inflammation aiguë, continuent-ils à créer une inflammation chronique ?

Un enfant sur cinq souffre de troubles du développement neurologique, un sur dix de troubles de l’attention et de l’hyperactivité, un sur 35 d’autisme, un sur onze d’asthme et un sur vingt de moins de cinq ans de crises d’épilepsie, et les maladies auto-immunes sont en augmentation exponentielle.

Et nous constatons que les virus et les bactéries que nous injectons dans le corps, ainsi que les adjuvants, créent quelque chose appelé mimétisme moléculaire, ce qui signifie que le corps voit ces virus en pensant qu’ils sont étrangers, mais en fait il trouve des parties de ces virus qui correspondent à des parties du soi.

et le système immunitaire ne fait pas la différence entre ce qu’on lui a dit de rejeter et lui-même, donc il retourne le système immunitaire contre lui-même, ce qui conduit à une condition auto-immune.

Nous le savons pour l’hépatite B. Nous le savons pour le vaccin Gardasil, et nous le savons pour le vaccin contre la grippe.

Et nous continuons à dire sans équivoque que les vaccins ont été étudiés de manière efficace et qu’ils sont sûrs, alors que ce n’est tout simplement pas vrai.