Les nouvelles conclusions chocs de l’affaire Epstein | GPTV
Le 2 janvier à 12h30, Mike Borowski révèle comment l’affaire Epstein, impliquant Clinton, Gates et l’élite mondiale, a été enterrée par l’État profond pour protéger un vaste réseau de chantage.
Une mise en scène grossière pour enterrer la vérité
Jeffrey Epstein n’a pas mis fin à ses jours. Son « suicide » en août 2019 dans une prison ultra-surveillée de New York est une exécution déguisée pour empêcher la révélation d’un système de chantage impliquant des élites politiques, économiques et médiatiques. Les caméras de surveillance ont mystérieusement « cessé de fonctionner » au moment exact où il est mort, et les gardiens censés le surveiller ont « oublié » de faire leurs rondes. Une mise en scène grossière qui rappelle l’élimination systématique des témoins gênants.
Jean-Luc Brunel, son complice français, a subi le même sort en 2022 dans sa cellule de la prison de la Santé à Paris. Officiellement, il s’est pendu avec ses draps, mais les incohérences sont trop nombreuses. Il était l’un des principaux rabatteurs du réseau Epstein et détenait des informations compromettantes sur des personnalités de premier plan. Son silence était vital pour ceux qui avaient le plus à perdre. L’affaire Epstein dépasse la simple criminalité sexuelle : elle est le cœur d’un système mondial de contrôle par le chantage.
Clinton, Gates et l’ombre du réseau Epstein
Le président Donald Trump, dès son investiture en tant que 47e président des États-Unis le 20 janvier 2025, a immédiatement déclassifié des documents explosifs sur l’affaire Epstein. Contrairement à Bill Clinton, Bill Gates et d’autres figures de l’élite mondialiste, Trump avait rapidement coupé les ponts avec Epstein au début des années 2000.
En septembre 2024, il avait laissé entendre qu’il pourrait révéler la liste des « clients » d’Epstein. Pourtant, malgré ses déclarations, aucun document n’a été rendu public. Des figures du Parti républicain, comme le sénateur Ted Cruz, réclament désormais la divulgation de ces dossiers, affirmant que le peuple américain a le droit de connaître la vérité.
Les connexions entre Epstein et l’élite politique américaine sont accablantes. Bill Clinton a voyagé au moins 26 fois à bord du Lolita Express, l’avion privé du prédateur. De nombreux témoignages affirment qu’il était un visiteur fréquent de son île privée, où des abus ont eu lieu. Bill Gates, également proche d’Epstein, a multiplié les rencontres avec lui, même après sa condamnation pour trafic sexuel. L’omerta autour de ces relations prouve que le réseau Epstein ne se limitait pas à un simple réseau pédocriminel : il servait d’outil de chantage au service de l’État profond.
Silence total des médias sur la connexion française d’Epstein
Le réseau Epstein ne se limite pas aux États-Unis. En France, Jean-Luc Brunel et Daniel S., un photographe de mode, ont été identifiés comme des rabatteurs de jeunes filles pour Epstein et d’autres personnalités influentes. Plusieurs victimes ont témoigné de leur rôle actif dans le recrutement de mannequins sous couvert de fausses opportunités professionnelles. L’enquête française, pourtant bien avancée, a été enterrée après la mort de Brunel.
Les services israéliens sont étroitement liés à l’affaire Epstein. Le financier n’était pas seulement un prédateur : il était un agent d’influence manipulant des élites pour collecter des informations compromettantes. Son associée Ghislaine Maxwell, fille de Robert Maxwell, magnat des médias et agent du Mossad, a facilité ces opérations de chantage. De nombreuses sources indiquent qu’Epstein utilisait ses propriétés comme des pièges pour filmer et compromettre des hommes politiques, des milliardaires et des célébrités.
En France, Jack Lang et d’autres figures politiques ont été évoquées dans l’affaire, mais aucune poursuite n’a été engagée. L’enquête sur la cellule française du réseau Epstein a été délibérément stoppée, et les médias ont effacé le sujet de l’actualité. Une protection totale des élites impliquées.
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