Si je m’appelais Pierre Lévy, plutôt que de pisser publiquement dans un violon (tout le monde est désormais d’accord sur le diagnostic de la casse néo-libérale imposée aux peuples européens, dette illégitime etc...), je m’occuperais plutôt de ce qui implique mon nom et celui de mes propres enfants dans un futur plus ou moins proche.
A savoir l’analyse critique et objective d’une caste ethno-culturo-religieuse qui sème souvent le vent tout en se plaignant de la tempête.
Dette, usure, banques d’affaires, il faut, M. Lévy, être lucide sur tout, tout le monde et tout le temps.
Merci à Jacob Cohen, Roger Dommergue Polacco de Menasce, Gilad Atzmon ou Finkielstein, qui ne sont ni des mythomanes, ni des gens ayant la haine d’eux-mêmes.