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Une enseignante nous explique les raisons de son départ de France

Elle a quitté la France pour les USA. Elle nous explique son aventure après 5 ans de vie sur place et les raisons de son départ de France (8 min).

 

 

Tags : Etats-Unis Immigration




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19 réactions à cet article    


  • 5 votes
    oliderid oliderid 2 octobre 2014 13:41

    Totalement has been, juste pour bon pour les politiciens socialistes français. On parle désormais d’Iwatch smiley


  • 1 vote
    Turmenic Turmenic 3 octobre 2014 08:11

    Ce reportage ne demontre ni ne prouve quoi que ce soit. On est juste content pour la blonde et pour le jeune premier qui a trouve la blonde revee pour la these qu’il veut nous vendre. C’est sur, il n’ira jamais a la rencontre d’un francais qui y galere et grave marre des US.


  • 1 vote
    Grégory Dubois Grégory Dubois 7 octobre 2014 03:42

    "Le caca m’inspire parfois, mais alors... par réaction et contraste évidemment !" Elle dit donc :

    [2:01] « un pays plus ouvert, économiquement plus suur euuhmmm… Qui a un patriotisme aussi bien présent ! »


    Traduction : Pays/Gens plus pro-finistinière, derrière une mentalité pourtant très puritaine, économiquement plus requins. Donc si tu apprends à manger vite sur le dos du futur clochard d’à côté, tu peux toujours te faire une petite place dans une meute de squales (attention : assez souvent carnivores !)… Sur le patriotisme je ne vois pas où elle veut en venir par contre, vu son choix de se barrer (je ne suis même pas sur qu’elle sache quoi penser de ce mot). Et puis Miami… On ne parle pas de patriotisme quand on va vivre à Miami, ça fait quand même pas très « Amérique historique » cet endroit. Plutôt « Amérique artificielle du fric et des vacances au quotidien pour gros richetons ». 


    Métier : Agent immobilier ! C’est quand même bien un métier de blondasse écervelée… à gros risque de se faire jarreter au moindre excès de rides et/ou baisse de rendement. Autrement dit : dès que tu ne sauras plus attirer le chaland, tu risques de très vite te faire dégager comme une vieille (prostituée) en bout de course (et là : pas d’aide social, ou si peu... un job pourri vite trouvé, le trottoir... ou un pont). Ca c’est ce qu’on sait quand on connait un peu le milieu et qu’on sait encore garder un minimum les pieds sur terre. Agent immobilier : c’est quand même Le métier où tout ce qu’on te demande c’est un physique agréable, une bonne présentation, le sourire éventuelleent, et un QI assez faible, ou très peu d’états d’âme… Genre, pour ne pas trop t’en faire sur le fait que tu revends les maisons et appartements : volés aux gens par les banquiers qui désormais t’emploient (plus ou moins directement), pour les revendre à d’autres, qui ont su profiter un peu de la crise pour s’enrichir en rachetant leurs biens pas cher, sur le dos de leurs ex-voisins devenu clochards, parce que eux n’ayant eux pas fait de génial empreint à taux variable sur base d’actifs pourris au plus mauvais moment (à ces même banquiers) pour s’acheter leur maison qui les auraient mis à la rue ! Tu comprends !?


    Et tout est comme ça, soyons juste honnêtes 2 secondes : Cette video est d’un niveau Nabila dans ses jours de faiblesse ! 


    J’ai eu des échos de gens qui ont vécus des années aux States. Et ben, ils étaient contents d’être revenus… Pour une chose principalement : la sincérité des rapports sociaux qu’on a en général plus facilement chez nous. Les Américains sont très individualistes, braqués sur leurs biens, leur vie, après un boulot qui leur prend déjà plus de temps qu’ici. Bref, ils sont bien dans la tendance qu’on suit (par les lois du capitalisme marchand), mais ils sont en avance (donc c’est pire) ! 

    Et personnellement, si je devais aller vivre au States un jour : J’essaierais plutôt de me trouver un petit coin de paradis dans un coin de nature agréable… Mais tu vois… En espérant toujours que les lobby pétroliers ne viennent pas le dévaster bientôt pour y trouver du gaz de schiste ou autre !… Parce que c’est ça, la sécurité (toute virtuelle) aux états-unis (soutenue par la naïveté des adeptes désinformés de la secte consumériste mondiale).


    Oliderid tu m’as l’air très jeune dans ta tête et très très, très naïf… Attention aux déceptions parce qu’à ce compte là, j’imagine que tu crois sans doute aussi que c’est Ben Laden qui a fait tomber les tours jumelles, que l’Irak avait des Armes de destruction massives, qu’Obama est une chance pour les Etats-Unis, qu’Al Gore est un honnête homme voulant sauver la planète du réchauffement, que Kennedi a été assassiné par Lee Harvey Oswald, que François Hollande combat la finance internationale, … 


    Mais un jour il va falloir arrêter la télé et autres vidéos menteuses propageant la doxa merdiatique pour te réveiller un peu : Quand on a besoin de se raccrocher à quelque choses, on cherche au moins des bases solides... et on laisse le vent souffler, tu ne penses pas ? Parce que là, crois-moi, si tu continues comme ça : le réveil sera très... douloureux ! Enfin courage, on est quand même avec toi ici ! (C’est là bas qu’ils sont tout seuls)


  • 2 votes
    lancelot 2 octobre 2014 13:48

    la france c est bien pour les retraités,les rentiers et les ponctionnaires( sauf de l EN,payés au lance pierre car trop nombreux et sous statut)

    le reste qu est ce qu on s emmerde ! 
    vous en faites pas , j ai déja fait mes baluchons 
    mais quelle tristesse de constater un pays en arret de mort cerebrale alors qu il y a tant de potentiel .quand vous deciderez de voter pour des gens qui ne vous flatte pas vous avancerez enfin


    • 22 votes
      stabilob0ss stabilob0ss 2 octobre 2014 14:02

      Et bien barrez-vous, et revenez pas.


    • 19 votes
      stabilob0ss stabilob0ss 2 octobre 2014 14:03

      Et si vous etes déja parti, restez y entièrement. On se fout de votre paradis du dollar.


    • 1 vote
      Joe Chip Joe Chip 3 octobre 2014 19:11

      Pourquoi les gens comme vous passent-ils des semaines et des mois à annoncer leur départ sur internet, comme si quelqu’un cherchait à les retenir ? Vous vous prenez pour Depardieu ? 

      Je respecte les choix individuels, mais je trouve qu’il y a un narcissisme puéril dans ce besoin de "claquer la porte" trois fois derrière soi comme un ado qui pète les plombs. Un orgueil et une frivolité assez typiquement française, finalement...

      Si vous avez de meilleurs opportunités ailleurs, c’est une bonne chose pour vous. Si vous vous flattez d’être un "créateur de richesses" dont le départ va représenter une perte pour le pays, c’est bien aussi.

      Mais svp dispensez-vous de pérorer sur le seuil de la porte en donnant des leçons aux damnés de la terre qui restent vivre en France. Merci et bon voyage.


    • 14 votes
      Unghmar Unghmar 2 octobre 2014 14:03

      Excellent reportage digne de Groland.


      • 12 votes
        stabilob0ss stabilob0ss 2 octobre 2014 14:05

        Si c’était une si bonne idée, elle fermerait sa grande gueule, et elle la garderait pour elle, sa super idée.
        La c’est juste du ponzi, faut de la viande fraiche pour permettre aux précédents arrivants de gratter.
        Ce pays d’ailleurs est une escroquerie digne de ponzi.


      • 5 votes
        Heptistika Heptistika 2 octobre 2014 14:29

        Ponzi = capitalisme


      • 6 votes
        Soi même 2 octobre 2014 15:47

        Encore une greluche qui s’imagine que le fric, l’hédonisme bourgeois et le cul sont les seuls mamelles de la réussite de l’homme !


        • 4 votes
          Simple citoyenne Simple citoyenne 2 octobre 2014 16:53

          Bonjour à vous auteur ! Les USA un pays économiquement plus sûr ! OK bon...je reste koi !


          • 10 votes
            Simple citoyenne Simple citoyenne 2 octobre 2014 17:21

             

            Ce mini-reportage est digne d’une vaste blague et je me demande si ceci n’est justement pas une blague tant la niaiserie de la jeune femme est consternante. Les USA sont décrits (Je résume en bref) comme le petit pays tranquille, le pays des Bisounours, ( là il s’agit Miami) et, où,  pourtant, au moindre sentiment ou sursaut de suspicion, il semble que l’on se tire dessus. Un pays économiquement plus sûr, là c’est le pompon !


            • 3 votes
              oliderid oliderid 2 octobre 2014 19:03

              De toute évidence vous n’y avez jamais mis un pieds. Qu’est ce que vous y connaissez au juste sur Miami ? La seule chose que vous semblez connaitre son des images d’Epinal sortie tout droit de séries sur TF1. Pourquoi ne pas juste écouter son témoignage et l’imaginer sincère meme si elle ne correspond pas à vos gros clichés sur les USA ?


            • 20 votes
              Jean Rigole Jean Rigole 2.0 2 octobre 2014 19:09

              Tant mieux pour elle si cette jeune femme est heureuse ainsi, et longue vie aux sushis. Cependant..., elle aligne pas mal de clichés, la réalité n’est pas si rose qu’elle le prétend. Son cas particulier ne reflète pas le sentiment général des expatriés que j’ai rencontré sur place, moi le premier. Attention, je ne parle pas de salariés qui bossent pour des multinationales, pour ceux-là en gros ça roule sauf le mal du pays pour certains, je parle de ceux qui entreprennent. Pour faire court, je suis parti aux US avec un visa investisseur E2 pour créer ma boîte en 2006 et j’ai vécu 6 ans à... Miami (plus exactement Miami/Fort Lauderdale/Sunrise/Daytona). Ce n’était pas mon premier choix, mais l’endroit semblait adapté à mon business model. Elle est probablement passée par la même avocate de l’immigration, M.P., une canadienne qui a pignon sur rue dont je tairais le nom pour ne pas lui faire de publicité.
               
              Autrement dit, j’ai débarqué en plein bordel économique et en pleine crise des subprimes en Floride, deuxième région touchée après la Californie. La blonde dit un pays économiquement plus sûr, c’est une truffe. J’ai vécu la bérézina où à partir de 2008, un commerce sur deux affichait « à louer », « à vendre » sur des kilomètres de rues... La blonde dit qu’elle est agent immobilier, j’en ai connu un à Fort Lauderdale. Un Français qui est devenu un ami, marié à une américaine vivant là-bas depuis 25 ans. Le volume des transactions a baissé, mais lui se portait très bien, il me disait que le surnom des agents immobiliers était « les vautours ». Tout dépend d’où l’on se place pour évoquer sa réussite...
               
              Je travaillais pas mal avec le milieu de la restauration et je n’ai jamais vu la blonde (retour en France en 2012). Elle a raison quand elle dit qu’il fait beau et que les taxes sont moins importantes sur les salaires, la Floride est considérée comme le paradis des employeurs et beaucoup ne se gênent pas pour payer les employés avec un lance-pierre... Une main-d’œuvre bon marché majoritairement composée de latinos. Il faut certes parler anglais (quoique la plupart des Français le baragouine), mais plus sûrement espagnol à Miami. La blague en vogue à l’époque était : « L’Amérique, c’est pas loin ! ». Je n’ai pas non plus croisé la blonde aux soirées de l’Alliance française de Miami. Ce que j’ai vu, par contre, c’est des frenchies (et un Suisse sur Ocean boulevard) boire la tasse, mettre le clé sous la porte et pour certains tout perdre..., même la vie pour un pote installé sur Washington Avenue à South Beach acculé à l’échec. Pour résumer, les US sont un miroir aux alouettes. Il est trop facile de mettre en avant la réussite d’une personne pour 100 qui se cassent la gueule. Il y aurait tant à dire que j’intègre cette expérience dans une saga que j’écris depuis mon retour, dédiée aux enculés de Wall Street.


              • 8 votes
                Jean Rigole Jean Rigole 2.0 3 octobre 2014 21:45

                Il y en a pas mal qui veulent se tirer ou se posent seulement la question
                En effet, mais ne pas confondre avec ceux qui se créent l’opportunité de vivre une expérience dans la grande tradition française des voyages à la découverte du monde (restant en cela fidèle à mes ancêtres bretons).
                 
                ça ferait grincer des dents quelques uns
                Je n’en doute pas, mais pas à ceux auxquels tu penses. L’ouvrage ne se limite pas à cet épisode. Il raconte en deux mots la saga (1950 à 2040) d’un personnage né dans la misère en Extrême-Orient, initié dans un ordre guerrier et traditionaliste millénaire dont la dernière grande bataille remonte aux Guerres de l’opium contre l’Empire britannique, la France et leurs francs-maçons. Il rencontre en Suisse lors de son voyage initiatique le possesseur d’un programme informatique révolutionnaire et un vieux renard de la finance qui crée la société dont ils deviennent les trois associés. La start-up se transforme en multinationale américaine du software et lui en P-DG, dévoyé par le néolibéralisme occidental en pratiquant les acquisitions-restructurations-délocalisations sur une échelle industrielle, établissant des pratiques commerciales pour rendre ses clients captifs, dont les plus importants sont bien entendu les banques et autres établissements financiers connus pour leur boulimie logicielle. Il est en réalité l’instrument d’un plan concocté par son associé, le descendant d’une lignée de hauts gradés dont la famille est devenue crypto-catholique pour infiltrer la confrérie de la truelle au lendemain de la révolution française... Après vingt années de pratique intensive de capitalisme états-unien et un scandale financier, il part rejoindre son camp en Extrême-Orient et bâtit un nouvel empire. Il devient le conseiller du Premier secrétaire du Parti pour les questions stratégiques relatives aux acquisitions de compagnies étrangères. Le pacte provisoire de non-agression élaboré avec les puissances d’argent durant la phase de globalisation touche bientôt à sa fin et le logiciel de pensée occidental pour instaurer un gouvernement mondial ne semble pas être du goût des deux Grands maîtres. Si les réseaux de pouvoir occidentaux ont sous-estimé ceux de leur partenaire commercial, chacun va à présent devoir défendre ses propres intérêts...
                 
                Il s’agit de la trame globale, le synopsis est plus détaillé. Une version de la globalisation à travers le parcours de mon personnage inspiré de faits réels et là aussi une autre expérience vécue, sous une forme romancée avec beaucoup de dialogues (le format essai est beaucoup trop ennuyeux pour le quidam), centrée sur les US et la France, mais pas seulement. Le sous-titre est : « L’Amérique dans tous ses États... et la France dans de beaux draps !  ». Une critique acerbe qui aborde les dimensions historiques, politiques, économiques, sociétales, religieuses... avec des scènes érotiques parsemées pas ci par là pour maintenir intact l’attention des athées formatés à TF1. Les thèmes suivants sont abordés sous une forme ou sous une autre : la Chine de Mao, les coups d’État au Guatemala et en Iran, la création de la Réserve fédérale, les politiques d’endettement des ménages et des États, les cinq derniers présidents des États-Unis, le financement de la « Blitzkrieg » par Wall Street, le lancement de la globalisation des années 80, les OGM et Monsanto, l’Union européenne de Jean Monnet, la loi de 1973, le système financier de Wall Street et ses traders, les couvertures d’impayés (CDS), les guerres du Golfe, le néolibéralisme et Milton Friedman, le protectionnisme et le patriotisme économique, les agences de notation, le 11 septembre et la géopolitique, la Réserve fédérale et la crise des « subprimes », le messianisme juif, le fédéralisme européen et l’euro, le grand marché transatlantique, la « bulle » Internet, la culture française en perdition, la crise financière et l’asservissement par la dette, les sociétés secrètes et les cercles de pouvoir, les délocalisations industrielles et le CAC 40, le système politique français du bipartisme et de l’alternance programmée, le Traité anticonstitutionnel européen, le FMI et l’OMC, la stratégie de diversion médiatique...
                 
                Ta mission si tu l’acceptes, pegase, est de me trouver un éditeur. Si tu travailles dans l’industrie du bois, tu as peut-être des ouvertures dans la pâte à papier ! smiley J’ai envoyé le premier tome à une quinzaine de multinationales de l’édition et comme prévu, la mouvance judéo-maçonnique n’aime pas les propos désobligeants à son encontre...


              • 5 votes
                DJL 93VIDEO DJL 93VIDEO 3 octobre 2014 00:25

                QuitterLesUSA ... Les américains devraient prendre conscience que l’on vit très bien en dehors des USA, voire mieux !


                • 3 votes
                  Pyrathome Pyrathome 3 octobre 2014 11:50

                  Moi, je fais mes valises pour partir du système solaire......



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