Enfumage et "manipulation totale des indices boursiers"
Je pense que ça se terminera mal... disait Philippe Béchade le 20 février 2013, sous forme de clin d'oeil à Olivier Delamarche (récession et monnaies qui s'effondrent...).
Les indices boursiers montent, alors que les anticipations optimistes sur la croissance s'avèrent complètement fausses...
On a donc un "grand écart entre la bourse et la conjoncture" : "On nous enfume !"
"Monsieur Bernanke [le président de la Réserve fédérale des États-Unis], plus il injecte d'argent plus la croissance s'étouffe..."
Le mois dernier, Nicolas Doze trouvait déjà que la conjoncture n’était pas du tout compatible avec les énormes bénéfices des banques américaines (les 21.3 milliards de dollars de bénéfice de JP Morgan) : « Je suis désolé, mais des profits comme ça sont incompatibles avec ce qu’on vient de vivre depuis 5 ans. C’est pas possible ! »
Il anticipait même un infarctus de la finance mondiale provoqué par la finance américaine...
Mais les marchés d’actions s’en foutent complètement... (Thomas Veillet)
Plus dure sera la chute ?
Tags : Economie Finances International Crise financière
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