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Accueil du site > Actualités > Société > Il n’y a pas d’alternative ! Trente ans de propagande économique

Il n’y a pas d’alternative ! Trente ans de propagande économique

Gérard Mordillat présente son livre "Il n’y a pas d’alternative ! Trente ans de propagande économique", qui revient sur la mise en place méthodique du libéralisme depuis le début des années 80. Avec son slogan thatchérien, la fameuse Tina : There is no alternative ! Il n’y a pas d’alternative !

 

Cette revanche des libéraux passe d’abord par la mise en pièce de l’Etat providence : destruction des services publics, retour vers uniquement la quête du profit pour un très petit nombre de personnes, une oligarchie financière (Hervé Kempf).

 

Pour ce faire, une Novlangue du libéralisme a été instaurée, un langage propagandiste qui veut transformer une fiction en réalité, dans un retournement qui est un vrai combat de propagande.

 

Les Cotisations sociales deviennent les Charges sociales ;

Les Licenciements collectifs deviennent des Plans sociaux, puis encore plus cyniquement, des Plans de sauvegarde de l’emploi ;

Le Salaire devient le Coût du travail ;

Les Syndicalistes deviennent des Partenaires sociaux...

 

" On veut nous faire croire que le capitalisme est le stade ultime de l’organisation humaine. Que le marché se confond avec la démocratie : vaste plaisanterie... "

 

La France, déjà sous Mitterrand, s’est finalement elle aussi servie de la fameuse Tina, en cautionnant cette tromperie libérale imposée par l’Europe des marchés (modèle financier), qui a sonné la fin de l’exception française...

 

Pour Gérard Mordillat, les choix de la gauche (PS) sont commandés par la finance et non par la politique.

Audrey Pulvar termine en précisant que Gérard Mordillat en Appelle à l’insurrection...

_ _ _

 

Présentation du livre et des auteurs, par l’éditeur (Seuil) :

 

« Après la Seconde Guerre mondiale, les élites économiques européennes, affaiblies par leur collaboration avec l’Allemagne nazie, doivent faire profil bas. Aux États-Unis, la peur du communisme paralyse la société. Pendant trente ans, des deux côtés de l’Atlantique, les classes moyennes vont profiter de cette situation et prospérer. Mais à la fin des « Trente Glorieuses », les libéraux sentent que l’heure de la revanche a enfin sonné.
Pour imposer leurs idées, ils utilisent une arme rhétorique redoutable : TINA, le fameux acronyme thatchérien de « There is no alternative », qu’ils vont répéter et faire répéter par tous les médias jusqu’à ce qu’il soit entendu comme une vérité révélée. Il n’y a pas d’alternative au capitalisme, au marché, à la mondialisation, à la déréglementation financière, aux baisses de salaires, aux délocalisations, à la disparition des protections sociales, etc. Cette idéologie va infester les sociétés occidentales, provoquer le déclassement social du plus grand nombre et des profits gigantesques pour quelques-uns.
Une oligarchie confisque alors le pouvoir. Mais quand la crise financière de la fin des années 2000 met en péril sa fortune et son patrimoine, l’État recouvre soudain toutes ses vertus. Ceux qui hier le vilipendaient réclament son secours à grands cris. Il n’y a pas d’alternative, il faut sauver les banques ! Et pour renflouer les pertes abyssales de l’économie de casino, ce sont encore les plus démunis qui seront rançonnés, à commencer par les salariés.
Jusqu’à quand ?



Agrégé d’économie, Bertrand Rothé est l’auteur de Lebrac, trois mois de prison (Seuil, 2009). Romancier, cinéaste, Gérard Mordillat est notamment l’auteur de Rouge dans la brume (Calmann-Lévy, 2011). »

 

Tags : Livres - Littérature Economie Politique Société Activisme




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30 réactions à cet article    


  • 6 votes
    Jean-Pierre Llabrés Jean-Pierre Llabrés 12 mai 2011 11:44

    There is a social alternative within the framework of Liberalisme and Capitalisme.


    Manifeste du Parti Capitaliste Français (PCF) ! ! !

    Depuis plus de 160 ans, Karl Marx fourvoie le prolétariat en le focalisant sur la lutte des classes et la possession prolétarienne des moyens de production.

    Aujourd’hui encore, la situation semble lui donner raison puisque le capital boursier mondial, d’environ 36.000 milliards d’Euros, est majoritairement détenu par une minorité de « nantis ».

    Toutefois, il est vain d’espérer une plus juste répartition des moyens de production par des nationalisations, voire des révolutions. Cela a déjà été fait avec les tristes résultats que chacun connaît...

    Puisque le capital boursier mondial est en permanence disponible à la vente et à l’achat, pour que le prolétariat, les « démunis », puisse accéder à la possession des moyens de production, la solution la plus simple consisterait à produire un effort soutenu d’épargne et d’investissement à long terme afin d’acheter ce capital financier des entreprises, banques incluses, et parvenir à l’Acquisition du Pouvoir Économique.

    Alors, les citoyens-électeurs-contribuables deviendraient collectivement propriétaires du Pouvoir Économique qu’ils géreraient via une représentation démocratiquement élue et absolument indépendante de l’État.

    Par cette voie, les citoyens-électeurs-contribuables transformeraient le capitalisme ordinaire que nous connaissons en un Capitalisme authentiquement Écologique, Anthropocentrique, Philanthropique et Équitable.

    Cette capitalisation progressive mais massive dans l’économie réelle marchande devrait permettre l’instauration d’un Dividende Universel qui résulterait des profits réalisés par ces capitaux accumulés durant et après la phase initiale d’épargne et d’acquisition du patrimoine boursier mondial.

    En attendant que le Dividende Universel soit opérationnel, il serait très souhaitable de reprendre la proposition de feu Jacques Marseille d’instaurer immédiatement une Allocation Universelle transitoire et inconditionnelle de 750 Euros mensuels pour tout citoyen(ne) adulte (et de 375 Euros pour les mineurs), financée par la fusion de tous les budgets sociaux actuellement existants. Cela représente un coût fiscal additionnel de 11 milliards en première année (calculs de Jacques Marseille).

    [Par parenthèse, cela revient beaucoup moins cher que le Revenu Citoyen conditionnel de 850 Euros mensuels de Dominique Galouzeau qui coûtera 30 milliards par an...]

    Pour un Nouvel Ordre Socio-Économique Français Équitable !


    • 17 votes
      Mr.Knout Mr.Kout 12 mai 2011 11:48

      J’ai beau lire et relire,vos idées me paraissent toujours saugrenues.Les gens bouclent à peine les fins de mois mais il faudrait qu’il "boursicote" ???
      C’est une grosse blagues,c’est ça ??


    • 4 votes
      Jean-Pierre Llabrés Jean-Pierre Llabrés 12 mai 2011 12:23

      Si l’on admet que les hyper-riches représentent 1% de la population française totale, parmi les 99% restants, pouvez-vous indiquer le pourcentage que représentent les personnes qui bouclent à peine leurs fins de mois ?


    • 2 votes
      Jean-Pierre Llabrés Jean-Pierre Llabrés 12 mai 2011 13:13

      Non. Cela ne me convient pas tout à fait.

      http://www.insee.fr/fr/themes/tableau.asp?reg_id=0&ref_id=natsos04202
      Revenu disponible par ménage (moyenne et médiane)
      2008 :

      Moyenne : 34.450 €/an = 2.870 €/mois
      Médiane : 28.570 €/an = 2.380 €/mois

      Médiane
      Définition
      Si on ordonne une distribution de salaires, de revenus, de chiffre d’affaires..., la médiane est la valeur qui partage cette distribution en deux parties égales.

      Ainsi, pour une distribution de salaires, la médiane est le salaire au-dessous duquel se situent 50 % des salaires. C’est de manière équivalente le salaire au-dessus duquel se situent 50 % des salariés.

      Remarque

      De nombreuses grandeurs économiques sont limitées vers le bas et non vers le haut. Par exemple, le salaire horaire est limité vers le bas par le SMIC alors que certains salaires peuvent être très élevés. La moyenne est tirée vers le haut par les salaires élevés, même s’ils sont peu nombreux, et elle est pour cette raison généralement supérieure à la médiane.
      Par ailleurs, l’incertitude qui affecte les valeurs extrêmes, en particulier les valeurs élevées, se reporte sur la moyenne mais n’affecte pas la médiane. Celle-ci est de ce point de vue un indicateur plus fiable.


    • 8 votes
      iakin 12 mai 2011 13:24

      @ Llabrés
       
      Votre raisonnement est intéressant, mais en pleine crise mondiale de la dette publique et privée, au moment où les marchés vont saigner tous les pays les uns après les autres, ça me semble complètement utopique de croire que les salariés pourront épargner pour acheter des actions en bourse.
       
      De plus, qu’est-ce qui les pousserait à les acquérir collectivement et les répartir équitablement ? Chacun le ferait évidemment pour sa pomme, c’est toujours ainsi que ça a fonctionné d’ailleurs.
      Mais ensuite, même si ça se faisait, comment la population pourrait gérer démocratiquement le pouvoir économique sans passer par l’État ?
       
       
      Plus aucun marxiste aujourd’hui, il me semble, ne défend l’idée d’une appropriation des moyens de production par l’État qui ne serait pas en même temps accompagné d’une réforme des institutions et d’une démocratisation du pouvoir.
      D’ailleurs quand le PS a pris le pouvoir en 1981 et qu’il a nationalisé sans transformer les institutions il a échoué. De nos jours l’un ne peut plus aller sans l’autre, car les institutions sont de toutes manières devenues l’émanation des classes possédantes.
       
       
      Et puis c’est quoi cette idée de reprendre l’acronyme PCF pour dénommer une politique qui serait l’inverse du communisme ? c’est une blague ?


    • 1 vote
      Jean-Pierre Llabrés Jean-Pierre Llabrés 12 mai 2011 13:34

      par iakin (xxx.xxx.xxx.238) 12 mai 13:24

      "ça me semble complètement utopique de croire que les salariés pourront épargner pour acheter des actions en bourse".
      À eux de décider. L’effort d’épargne envisagé est loin d’être insurmontable : 1 € par jour.
       
      "De plus, qu’est-ce qui les pousserait à les acquérir collectivement et les répartir équitablement ? Chacun le ferait évidemment pour sa pomme, c’est toujours ainsi que ça a fonctionné d’ailleurs".
      Les pousserait leur intérêt bien compris.


      Mais ensuite, même si ça se faisait, comment la population pourrait gérer démocratiquement le pouvoir économique sans passer par l’État ?
      Je réponds à cela dans le texte lié à mon commentaire.

      Et puis c’est quoi cette idée de reprendre l’acronyme PCF pour dénommer une politique qui serait l’inverse du communisme ? c’est une blague ?
      Pour tenter de frapper les esprits !


    • 7 votes
      guilhaume 12 mai 2011 14:08

      Par "ménage", doit on comprendre "couple avec enfants" ?
      Si oui dans la mojorité des cas, celà revient à dire que le revenu médian par personne est de 1190 €/mois...


    • vote
      iakin 12 mai 2011 14:15

      "Les pousserait leur intérêt bien compris."
       
      Pour ça faudrait-il encore qu’il y est une solidarité solidement ancrée entre tous les français... je n’ai pas l’impression que le moment soit extrêmement bien choisi pour y croire...
       
      "Je réponds à cela dans le texte lié à mon commentaire."
       
      J’irais jeter un oeil.


    • 5 votes
      logan2 12 mai 2011 17:36

      Moi je pense comme Frédéric Lordon qu’il faut tout simplement fermer la Bourse. Elle est néfaste à tout point de vue. Et elle ne sert finalement pas à grand chose vu qu’elle ne remplit pas sa mission première qui était d’aider au financement des entreprises, aujourd’hui au contraire ce sont les entreprises qui financent la finance. De plus si les entreprises ont besoin de financements pour inverstir, elles se tournent aujourd’hui essentiellement vers les banques, jamais vers la Bourse, tout simplement parce qu’émettre des actions possède la facheuse propriété déplaisante pour les actuels actionnaires de diluer la valeur des actions.

      Ca c’est pour la partie actionnariale de la bourse.
      Après il y a la partie purement spéculative sur les matières premières ( dont on sait à quel point elle est parasitaire et néfaste ( inflation, la création de famines etc ...) ) et sur les produits financiers, qui ne sont finalement que du pur casino et on a pu entrevoir tout son potentiel nuisible et sa capacité à déclencher des crises économiques avec les subprimes.


    • 2 votes
      gazatouslesetages 12 mai 2011 22:12

      85% gagne moins de 1500 euros par mois. cette indication vous convient elle ?
       
      Dites les supers économistes mélenchoniens, ils viennent d’où ces chiffres ?



    • vote
      iakin 12 mai 2011 22:46

      Tout le monde dans le même panier, n’est-ce pas gaz, comme d’hab quoi.
      La vieille technique de pleureuse qui consiste à se faire passer pour une victime.
       
      Je crois que le salaire médian en France est de 1600 euros par mois. Si on y ajoute les non salariés, je ne sais pas trop ce que ça donne ni si ça aurait vraiment un sens.


    • vote
      gazatouslesetages 12 mai 2011 23:05

      Tout le monde dans le même panier, n’est-ce pas gaz, comme d’hab quoi.
      La vieille technique de pleureuse qui consiste à se faire passer pour une victime.

      gné ?

      tu dérailles iakin. Je pose une simple question. sur des chiffres concrets.
      parce que sans vouloir vexer votre béatitude, je doute fortement de ceux sus cités.


    • vote
      iakin 13 mai 2011 04:13

      Je comprend très bien que tu puisses douter de ces chiffres, moi-même je n’ai aucune idée d’où ils peuvent bien venir. Mais je ne vois pas pourquoi tu fais des manières ou des sarcasmes pour poser une simple question, qui est tout à fait légitime en plus...


    • 4 votes
      iakin 12 mai 2011 13:02

      Pour que le FN puisse prendre le "taureau par les cornes" au sujet du capitalisme, il faudrait qu’il nous rejoue le coup du national socialisme ou quelque chose comme ça... mais bon y’a peu de chance pour qu’ils osent, et s’ils osent y’a peu de chance pour que l’on retombe dans le panneau.
       
      En gros ils ont une bonne avance du côté médiatique, mais aussi une bonne coudée de retard du côté de leur liberté d’expression. Ils se bagarrent sec pour ça, mais ne pouvant s’afficher ni fascistes, ni nationaux-socialistes, il y a une contradiction qu’ils ne sont pas prêts encore de réussir à dépasser.
       
      Au contraire les communistes peuvent, eux, non seulement s’afficher comme tel, mais en plus les médias n’ont pas intérêt à les diaboliser car cela les placerait aussi soudainement sous les projecteurs. En pleine crise du capitalisme ce serait comme craquer une allumette après avoir oublié de fermer le gaz.


    • 8 votes
      iakin 12 mai 2011 12:40

      "On veut nous faire croire que le capitalisme est le stade ultime de l’organisation humaine, que le marché se confond avec la démocratie."
       
      Non seulement on veut nous le faire croire, mais le pire c’est que quasiment toutes les personnes haut placées dans notre société en sont déjà elles-mêmes tout à fait convaincues.
      Il faut voir Bolkestein par exemple, durant une émission de télé, en 2005, se réjouir d’être un politicien indépendant parce qu’il n’a pas de compte à rendre à un électorat..
       
       
      Sinon, à propos du discours de Mordillat, il me semble qu’il se plante tout de même sur une chose, à propos du fourvoiement des socialistes dans la construction européenne... le gouvernement Mauroy s’est fait plié en 83 pour des raisons économiques, spéculation sur le franc, confrontations avec la Banque de France, alors viser une monnaie unique européenne ça a été un échec mais à l’époque cela devait sans doute paraître comme une solution envisageable à la réalisation d’un programme socialiste en France...
       
      Enfin à propos de la novlangue, il y en a un autre, de mot, qui a bien changé aussi :
      Salarié est devenu maintenant Collaborateur
      Celui là a au moins le mérite d’être clair ^^


      • 1 vote
        perlseb 12 mai 2011 19:21

        Pour la novlangue il y a aussi :
        .
        Libre circulation des capitaux = asservissement des populations par alignement sur les moins exigeantes.
        .
        "Démocratie" représentative = oligarchie.


      • 2 votes
        pied 12 mai 2011 12:44

        ba ouais, l’appropriation des moyens de production quoi.

        en une phrase, et hop !

        les exemples ne manquent pas de fonctionnement tout-à-fait viable en coopérative, à voir par exemple, l’excellent documentaire "the take" sur l’argentine, à tous ceux que les sirènes capitalistes feraient douter.
        .
        ces vendus nous regarderons crever de faim sans sourciller, ouvrons les yeux pour ne plus les fermer pinaise !
        on se fait quand même sérieusement voler et rabaisser, ce qui se passe aujourd’hui, ces attaques sanguinaires de la liberté et de la démocratie sont enseignées et écrites noir sur blanc, tout le processus de destruction sociale et de mise en esclavage progressif, dans les manuel des grandes écoles de commerce et de management us.
        .
        il faut bousculer ( idéologiquement, bien sûr..) tous les militants et sympathisants socialistes que vous connaissez, essayer de leur faire comprendre un minimum le piège dans lequel ils sont, je le fais tant que je peux pour ma part, vous verriez le gueule qu’ils tirent quand on leur dit le mot "propagande" en dehors du ronron de france-inter ( sauf le respect que j’ai pour Audrey Pulvar, moins tiède et apathique que beaucoup) !!!
        ils l’entendent mais ne veulent pas y croire !


        • vote
          pied 12 mai 2011 12:45

          "dans les manuel des grandes écoles de commerce et de management us."..... des années 80 !

          pardon....


          • 1 vote
            traboule 12 mai 2011 14:01

            Avant Tatcher l angleterre avait un pib/habitant 20% inférieur au francais ce pays etait un cloac de pauvres et n avait que son rock pour chialer ses turpitudes , après il est monté a 10% au dessus du notre . Le capitalisme financier a eu du bon pour eux alors pourquoi voulez qu ils changent de voie ?


            • 2 votes
              mohad-dhib 12 mai 2011 18:34

              pourquoi omettez vous l’enorme pret fmi accorde a l’angleterre sous thatcher.. ?le pays etait ruine,foutu....
              dissimulation ou ignorance..les deux ?
              l’a t’elle rembourse ? bien sur que non.....le fmi c’est eux....


            • vote
              traboule 12 mai 2011 19:21

              pas faux, en plus l angleterre, qui payait plus qu elle ne recevait de l europe d ou le celebre " i want my money back", a obtenu un chèque de compensation selon des conditions jamais revus depuis malgré le rappel de chirac en en 2002 .Mais de la a dire que l angleterre c est le FMI c est un faux raccourci, surtout que son poids y a diminué comme celui de la France.Reste pas moins que c est la finance et ses retombées qui a tiré le pays vers le haut malgré les inegalités croissantes.Mais au moins las bas la promotion sociale est plus evidente que chez nous , on l on doit etre du bon réseau pour avoir les bonnes places


            • 1 vote
              traboule 12 mai 2011 15:20

              vu de France il est fascinant de constater que l austérité -d autant plus appliquée a une echelle sans commune mesure a ce qu on connait ici - n est pas sanctionnée par l electorat anglais .Les britanniques s en sortiront toujours car son peuple comprend ce qu est l interet général et est toujours pret au sacrifice comme aux pires heures de l histoire.La France, elle, doit faire avec le boulet de franchouillards toujours pret a toutes les lachetés


              • 4 votes
                iakin 12 mai 2011 15:30

                Commencez par vous serrez la ceinture vous-même, on verra ce que vous penserez après.


              • vote
                traboule 12 mai 2011 19:23

                c est le cas et ne me pose aucun problème, contrairement a l Etat francais je sais gèrer mon budget et faire les sacrifices qui s imposent . Quand on s est goinfré pendant 40 ans sur du crédit il faut avoir avoir la décence de dire stop


              • vote
                iakin 12 mai 2011 20:21

                Mais qui est-ce qui s’est goinfré ?
                 
                Moi j’ai bien du mal à comprendre votre admiration pour des électeurs qui votent en masse pour aller se faire saigner avec en plus le sentiment de se sacrifier pour la bonne cause...


              • 1 vote
                mohad-dhib 12 mai 2011 18:38

                Ca fait 10 000 ans...de ce regime....voir plus....la societe marchande de profit a le controle total..pourquoi ? parce que on y croit tous a la reussite bien sur....euh je m’en tape !
                mais aujourd’hui qui comprends pourquoi tout ca ?
                quand je parle que tout ca a une origine , que je vois clairement en nous.....ca n’interesse pas du tout,sauf quelques exceptions ....qui le savait avant....

                on dirait qu’il y a surtout le desir de ne rien faire....en fait c’est cela meme, il ne se passe rien pace que a part raler, c’est le vide pourquoi ?
                on propos quoi ? la meme chose en gentil..............le gag !!


                • 1 vote
                  Aldo Berman Aldo Berman 12 mai 2011 23:03

                  Finalement, beaucoup des gens vont se battre pour défendre leur droit de rester en prison.
                  Pourquoi vouloir s’échapper quand on a pas conscience d’être prisonnier ? :)


                • vote
                  mohad-dhib 12 mai 2011 18:39

                  que de fautes.....


                  • vote
                    dup 13 mai 2011 08:40

                    la gauche ,et surtout le PS (qui n’a pas inventé l’eau chaude) est l’acteur de toutes les trahisons . On a jamais autant privatisé que sous le fromac mitterand. Celui qui a reussi le chef d’oeuvre de pousser la France dans Maastricht ,castrant le pays de telle sorte qu’ il y a rellement no alternative . Tout cela est voulu et les auteurs meritent de balancer au bout d’une corde. La folie de grandeurs de l’élite , le gout des tapis rouges ,le défaitisme et la conviciton que l’on peut survivre que si on est grand n’ont pas permis des expériences à l’échelle humaine. l’argent a pu corrompre à un tel point l’élite qu’elle trouve cela très bien :

                     "Les rares personnes qui comprendront le système seront soit si intéressées par ses profits, soit si dépendantes de ses largesses qu’il n’y aura pas d’opposition à craindre de cette classe-là ! La grande masse des gens, mentalement incapables de comprendre l’immense avantage retiré du système par le capital, porteront leur fardeau sans se
                    plaindre et peut-être sans même remarquer que le système
                    ne sert aucunement leurs intérêts"
                     Rothschild Brothers of London, citant John Sherman, communiqué aux associés , New York, le 25 juin 1863.

                    voilà pourquoi il y a pas d’alternative


                    • vote
                      dup 13 mai 2011 08:44

                      excusez c’est mal foutu cette fonction . le texte est ici :

                      http://socio13.wordpress.com/2008/11/20/histoire-breve-qui-va-lemporter/

                      voila pourquoi rien ne bouge



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