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Le sexe à l’école, c’est maintenant

Vincent Peillon est inquiet. Ici et là, des parents d’élèves – souvent de très jeunes élèves – se sont montrés indignés il y a quelques jours par l’introduction dans les écoles d’une matière assez étrange scientifiquement dénommée « théorie du genre ». Inutile d’étaler des laïus sophistiqués pour vous expliquer ce que sous-entend cette théorie. Depuis le temps qu’on en parle, sans doute êtes-vous autant, sinon plus avisés que moi.

 
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Tags : Sexualité Vincent Peillon




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11 réactions à cet article    


  • 38 votes
    démosthène 31 janvier 2014 14:14

      
    Mort de rire...
     
    Le mec qui fait la retape sans en avoir l’air...
     
    Nan, pas peillon, mais toi, trompette...
     
    Genre ( sans jeu de maux ) le mec qui ne veut pas mais qui vous incite à le faire à sa place.
     
    Qui est-ce qui laisse passer ce genre de torchon, à la modo ? 
     
    Ah non, tu tentes la quenelle par suggestion ? 
     
    Bref, ça s’améliore pas, av.TV
     
    Le trottoir côtoie le caniveau, quoi...
       


    • 5 votes
      abuelo 31 janvier 2014 15:10

      Qu’est ce que c’est cette merde. Ce bla bla de chiottes ? Vous en avez pas marre de répandre les poubelles ?


      • 8 votes
        Elisa 31 janvier 2014 16:57

        Ras-le-bol de ce débat oiseux sur un sujet qui n’en est pas un ;

        L’égalité de droit entre les personnes est inscrite dans la constitution. Tout le reste est littérature de mauvais goût.

        Les orientations sexuelles appartiennent aux goûts et aux orientations de chacun. Elles tombent sous le coup de la loi lorsqu’elles impliquent des actes qui sont reconnus et avérés comme des délits ou des crimes.

        Ainsi un viol est un crime quel que soit sa victime (homme, femme ou enfant), mais aussi un attentat sexuel à l’égard d’un enfant ou d’un adulte frappé d’incapacité. Cela suffit pour un législateur sensé.

        En revanche, il est tout aussi délirant de prétendre éduquer à l’école les orientations sexuelles des élèves dans quelques directions que ce soient.
        De quel droit imposerait-on des rôles de sexe traditionnels ou bouleversés ?

        Pourquoi pas des contenus d’enseignement différents pour les filles et les garçons ? ou pas d’enseignement du tout pour un sexe !

        Pourquoi pas un carnaval permanent et imposé d’inversion de rôles ?

        Dans l’un ou l’autre des cas, c’est la personnalité et la sensibilité de chaque enfant qui sont atteintes.

        Un enseignant n’a pas pour mission d’infléchir des comportements sexuels, quels que soient ses "théories personnelles" : qu’il soit adepte d’une conception naturaliste ou culturelle des orientions sexuées, il n’a pas à en faire état dans ses choix éducatifs ou ses activités pédagogiques.

        En revanche chaque enfant doit être respecté dans ses préférences, que celles-ci le portent vers telle ou telle orientation.

        Si un petit garçon préfère jouer à la poupée et qu’une fille aime le foot, où est le scandale ? Seul compte pour l’enseignant le fait qu’il est un élève à instruire selon les programmes et à éduquer selon les principes d’orientation prévus par le législateur.

        Mais ce "débat" n’est-il pas un chiffon rouge agité comme un écran de fumée pour détourner le mécontentement social vers des croisades sociétales aussi vaines qu’indécentes ?



          • 2 votes
            Fabien07 1er février 2014 08:14

            Perso je trouve que la pente est dangereuse (elle l’est déjà pour plein de raisons, mais disons que ça accentue la pente).
            Pour moi il n’y a pas de contradiction entre le fait de respecter les femmes par exemple, de leur donner les mêmes droits (le même salaire) et les mêmes devoirs, et le fait de reconnaître qu’hommes et femmes sont différents à bien des égards. Rien de plus attristant que ces femmes qui croient que pour prendre leur place dans le monde et être l’égal des hommes, elles devraient devenir des hommes (mais alors surtout pas mesdames ;)
            De même il n’y a pas de contradictions entre le fait d’accepter qu’il y ait des homosexuels, et de leur donner les mêmes droits que les hétéros, et le fait qu’on ne peut raisonnablement pas mettre sur le même plan hétérosexualité créatrice de vie (ainsi que d’épanouissement et de plaisir) et homosexualité source d’épanouissement et de plaisir (je leur souhaite sincèrement). La nature est bien faite, non ? C’est comme ces jeux pour bébé où l’on doit trouver la bonne forme, celle qui rentre dans le trou...
            Bref, la recherche de la "mêmeté" comme on disait en psycho, est une ânerie monumentale. A l’image des populations animales ou humaines qui sombrent dans la consanguinité, elle nous appauvrit et nous condamne à la déchéance et la mort.


          • 9 votes
            Nazir 31 janvier 2014 22:41

            Merci à Françoise pour ses clarifications. Nos enfants sont clairement en danger avec cette théorie du genre, ils tentent d’orienter nos enfants vers des pratiques sexuelles perverses des LGBT, en normalisant ces pratiques au nom de l’égalité. En fait, c’est classique, ils confondent sciemment égalité et uniformité.

            Au nom de l’égalité, ils voudraient uniformiser les pratiques homos, en vendant l’idée aux gamins que l’école, les enseignants, l’Etat, les encourage à avoir des relations homosexuelles. Pour produire des générations d’ homos, il leur faut s’introduire dans les écoles et dès le plus jeune âge leur faire croire qu’il est tout à fait naturel, voire gratifiant qu’un homme devienne une femme ou que les humains deviennent des homos.

            La lutte contre l’homophobie n’a rien à faire dans les écoles ! Des pratiques sexuelles contre-nature n’ont pas à être valoriser dans les écoles.

            Non, on ne devient pas femme ni homme, on nait homme où femme. Ils cherchent à pervertir la jeunesse afin de légitimer la pédophilie.
            Lire à des enfants de maternelle, des histoires comme " Papa porte une robe", c’est un moyen de pousser les enfants vers une orientation homosexuelle alors que rien dans la nature, ni dans leur famille ne les y conduit.
            C’est pourquoi, ils tiennent à ce que les parents n’aient pas leur mot à dire. On ne nous pas demandés notre avis pour expérimenter comme si nos enfants étaient des cobayes, des objets de laboratoires d’une théorie de pédophile et d’associations soucieuse de généraliser leur pratique au nom de l’égalité.

            Les associations d’homos n’ont rien à faire dans les écoles, qu’ils aillent faire leur propagande ailleurs. On interdit aux mamans voilés d’accompagner les enfants à des sorties et Peillon impose à nos gamins des associations d’homos et de transexuels qui viennent faire la promotion de leur pratique sexuelle.

            En tant que parents, on ne peut pas faire confiance à l’école, ce sont d’abord les enseignants qui ont failli. Pire, ils ont refusé de donner des explications aux parents qui en demandaient !

            Ce n’est pas une affaire de droite ou de gauche mais de la protection de nos enfants face à des LGBT qui valident une théorie sexuelle qui légitime la pédophilie.

            Hollande et ce gouvernement de pédophiles doivent sauter !


            • 3 votes
              cass_la gauloise cass_la gauloise 1er février 2014 05:00

              comme disait une certaine baronne rothschild issus de khazars , huns et cie" il nous faut bien de la chair fraîche pour nos vieux " après avoir pratiqué une religion dite du phallus et ses orgies, ces pharisaîsés prosélytes à partir du 8éme siécle, mêmes pratiques ces rothschildiens ces freudiens windsordiens et cie, qui ce sont infiltrés partout, purée voir leur abject talmud.madin mordekaï/javo/yahvé .


            • 5 votes
              gerfaut 31 janvier 2014 23:18

              La théorie du genre est bien en train d’ entrer à l’ école, merci Zemmour !




                • 4 votes
                  Tontons flingueurs Tontons flingueurs 1er février 2014 12:00

                  Au risque de rester terre à terre voire d’être un vieux con. 

                  Je veux que nos enfants apprennent les mathématiques, le français, les sciences, l’histoire, l’économie, les langues etc... C’est trop demander ? Le reste, la vie forgera leurs esprits et leurs valeurs.Mais pour cela il faut de la connaissance !! N’est-ce pas le rôle de l’Education Nationale ? 

                  • vote
                    paulau 4 février 2014 13:32
                    On met en place des programmes relatifs à la sexualité , dans le primaire, et cela dans le dos des parents.
                    Un exemple ci-dessous 

                    Voici un texte indiquant le contenu et les objectifs de cours sur la sexualité à l’école primaire :

                    De toute évidence il n’a pas à être accessible au public, en effet si on clic sur :

                    on ne peut accéder au texte.

                    En fait il s’agirait là d’une erreur du gestionnaire du site.


                    Bravo la transparence.


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