Charles Enderlin, correspondant de France 2, livre un documentaire nécessaire pour comprendre ce qui s’y passe aujourd’hui autour de la Mosquée Al Aqsa de Jérusalem, le sionisme et le le rêve messianique Juif de détruire le troisième lieu saint de l’#Islam.
Les gens s’ abstiennent de plus en plus pendant les
élections, adhérent de moins en moins aux partis politiques, et surtout
ne font plus du tout confiance aux politiques. Tous ces
symptômes caractérisent une crise importante de notre système.
C’est pour cela que certains tentent d ’y remédier en y cherchant des solutions via l’ histoire.
Chercheur
Americain, et ancien élu dans l’état du Vernont, USA, Terril
Bouricius est remonté à la démocratie athenienne et s’est demandé qu
’elle pourrait être son application au sein de nos sociétés modernes.
David Van
Reybrouck, auteur du livre " contre les élections", propose un système
bi-représentatif, comprenant 2 assemblées, une de citoyens élus, et une
de citoyens tirés au sort.
Le recours
exclusivement au tirage au sort n’est pas là solution miracle, mais elle
peut corriger un certain nombre de défauts de notre système actuel,
comme par exemple une meilleure représentation au sein du corps
politique.
De plus les tirés au sort n
’agissent pas avec l’ intention d être réélus, car au contraire de nos
politiques ils ne sont pas focalisés là dessus, la fièvre électorale
se dissipe. Ils ont donc un atout de plus et primordial , la liberté.
En
Irlande , une convention sur la constitution à eu lieu pendant 14 mois.
Elle regroupait 99 personnes , 33 élus et 66 citoyens tiré au sort. Le
tout pour discuter de 8 articles de la constitution, dont le mariage
pour tous.
Pays catholique, la discussion fut sereine et
constructive, alors qu ’en France au même moment, on a eu droit à une
année d’ instabilité politique.
Le mélange donc , élus + tirés au sort donne un sérieux et une énergie.
Nos
politiques sont devenus des fondamentalistes de l’ élections,ils l’
ont sacralisée , persuadés qu ’une démocratie ne peut se concevoir sans
élections. Et finalité, au nom de cette sacro -sainte,
il tuent ! (Libye, Irak, Afghanistan, ...)
Rousseau
considérait que la combinaison du sort et de l ’élection produisait un
système jouissant d’ une grande légitimité mais capable en même temps
d’efficacité.