J’ collectionne les bonnes-femmes, elles sont toutes en extase ces pauv’filles, ha ha ha (tapage de bide, celle-là, après 100ans, on s’en lasse toujours pas). Mon citron, la fellation, les plus bonnes meufs, les femmes qui, passé 50ans, sont bonnes à jeter et sont prêtes à me payer, le énième filon sur Bernadette Chirac pour humilier publiquement une de fois de plus une femme agée, au profit de ma bite, ma bite, ma bite, ha ha ha (applaudissements)... "C’est comme coucher avec Carla, ça n’étonne plus personne". Ha ha ha . Une femme qui couche avec des hommes, mon Dieu quelle sale traînée, lapidation verbale, ha ha ha. (coups de coudes virils complices). "Je t’avoue, cher internaute,que je n’ai pas eu 120, 000 maîtresses, mais une seule fiancée". Ouf, merci , après toutes ces bonnes vieilles blagues arriérées sur les femmes, nous voilà rassurés. La bienséance est restaurée. L’ordre propre est rétabli.
Sinon en France, côté humour - à part les fils-roi protégés du 6ème arr à la psychologie anale -, quoi de neuf ?
Ca commence vraiment à me chauffer tous ces commentaires qui nomment sans cesse les femmes politiques et publiques par leur prénom. Ce ne sont ni des petites filles, ni vos copines, il est grand temps que cette sale condescendance sexiste insupportable explose en miettes.
Quant à Chabot, qui se tait tant que Dati parle, mais interrompt systématiquement Marine Lepen au bout de 30 secondes - l’interpellant non-stop comme un disque rayé pour essayer de la faire passer pour une dégénérée -, son rôle caricatural de propagandiste lèche-cul du gouvernement est à se taper sur le ventre. Marine Lepen a le droit de s’exprimer autant que quiconque, et pourtant, personnellement, elle me débecte. C’est dire à quel point Chabot est vraiment issue de la pire espèce. Goebbles en horrible brushing ringard péroxydé années Jr-Sue-Ellen.