Le principe du refus de la peine de mort, ce sont les droits de l’homme j’imagine.
Mais le droit de vivre en sécurité n’est-il pas un droit de l’homme ? Et bien le type qui s’est fait shooté par un multirécidiviste, et bien lui il ne peut plus les invoquer, les droits de l’homme.
Le droit de l’homme, voilà donc bien quelque chose d’utopique et de partial. C’est de l’idéologie, on prend ça comme un absolu réalisable, mais dans la pratique ça a tendance à aggraver la situation.
Tous ces meurtriers, délinquants, voyous qui ont fait leur part de zon-zon, dans le système qui est le notre, peuvent se payer le luxe d’être multirécidivistes, tranquilles, la justice restera compréhensive.