Mais non, c’est l’effet de l’ouverture totale des frontières, aux personnes, aux marchandises et aux capitaux comme promu en occident et surtout en France.

Dans l’histoire, aucune société multiculturelle n’a fonctionné, ce qui se passe était donc prévisible. Toute société n’existe paisiblement que s’il y a une civilité partagée, sinon d’abord les tensions et les malentendus s’accumulent, puis les groupes font sécession les uns des autres.

Il n’y a que les empires qui soient plus permissifs au plan des us et coutumes. Mais il faut que l’économie soit prospère, pour que chacun puisse vivre côte-à-côte sans se croiser, chacun gérant sa petite boutique de manière plus ou moins indépendante.

Si la crise survient, les populations cherchent à être solidaires. Mais s’il manque un ciment social fédérateur, alors la société se divise en multiples communautés concurrentes, ce qui fait monter les antagonismes.

J’ai souvent été solidaire et accueillant avec les migrants. La plupart du temps, j’ai obtenu hypocrisie, mépris ou arnaque. Il ne faut pas généraliser, mais il est faux de dire qu’un migrant est par nature "bon". Certains sont là pour se faire le maximum de pognon, le plus vite possible, éventuellement en écrasant l’autre. En cas de problème, il leur suffit de fuir ailleurs. Comme personne les connaît, et qu’ils n’ont donc pas de réputation à défendre, leur comportement ne dépend que de leur vertu morale personnelle.