Question de non choix.
Il faut vraiment être désespéré
pour en arriver à voter pour une République sous Marine. Un peu comme les
kamikazes qui se foutent en l’air avec une ceinture de bombes et se prennent
pour des martyrs.
On cherche toujours la solution
ailleurs quand il y a solution, mais quand elle n’est pas, on fonce vers le
pire, la politique qui récupère les valeurs oubliées par des partis dont
l’incurie n’est plus à démontrer, à gauche comme à droite.
Mais de ces valeurs
moralisatrices, que va faire la Marine ? D’abord, des promesses, à peu
près les mêmes que celles énoncées en 2007. Le peuple est corvéable et
manipulable à merci, il gobe tout.
Passer d’un gouvernement médiocre
à un gouvernement obscurantiste, ce n’est pas ce que l’on nomme un progrès,
c’est passer de Charybde en Scylla.
Comme en 2002, on va devoir voter
contre ce « pire » soutenu par les frustrés de la République qui ne
se réveillent qu’au moment du vote.
Et l’histoire tourne en boucle à
force de ne s’attaquer qu’aux conséquences des dysfonctionnements, jamais aux
causes.
Plus de morts sur les routes, en
début d’année : et Allez !! On remet mille radars. La politique
répression régression a encore frappé.
La Marine ne pourra qu’accentuer
ce principe policier de gouvernement. Quand on pense que Sarkosy avait repris à
son compte les paroles de Jean Paul 2 : n’ayez plus peur, on conçoit la
contradiction en son comportement.
La peur est très mauvaise
conseillère, elle nous fait foncer dans la gueule du loup. Pas deux fois, mes
chers concitoyens, pas deux fois ! Sortez de ce déterminisme ! Sortez
du désespoir : Allez piquer les fesses des politiques de tous poils.
Quand on va au râtelier des
grandes surfaces, on sait ce que l’on va acheter. Ne pas se gourer de liste en
2012 car il y a des produits vraiment pas bio.