Après des années d’un discours pseudo-rationnel - le pseudo pour le refus forcené d’admettre des faits et une complicité évidente dans la vaste entreprise de dissimulation-falsification que furent les enquêtes sur les attentats - tu viens maintenant de nous expliquer que des particules d’acier détachées des poutres par chocs et frottements ont atteint leur point de fusion au cours de l’effondrement et se sont transformées en une pluie de sphérules de taille micrométriques. Là on avance parce que c’est la première fois que je lis cela. Maintenant tu n’as toujours pas donné de références officielles sur ce que tu avances. Je réitère ma question : est-ce une interprétation personnelle ou as-tu une caution d’enquêteur ou de scientifique ?
Ajoutons que Astaneh-Asl n’a pas attribué à un phénomène d’abrasion les manques, amincissements et déformations observés sur les poutrelles comme tu te permets de le dire, mais à de très hautes températures.