Ce qui est dérangeant, c’est que 2 films sortent en même temps sur le même sujet, plus un livre je crois, et que tout ça est dans la continuité du gavage initié par Shoah, nuit et brouillard, un autre chapitre s’écrit dans le fameux "devoir de mémoire" que l’on impose à des gosses qui ne demandent rien, à un public qui n’est pas coupable, et qu’à défaut de shoah 2, on instrumentalise ainsi un fait divers, qui, aussi horrible soit il, demeure un cas isolé.

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Ce qui ajoute encore du poids dans la balance déjà bien malmenée du deux poids deux mesures, visible aux yeux de tous notamment ces derniers mois avec le lamentable spectacle offert par Valls depuis l’affaire Dieudonné, puis au discours de Toulouse (je crois, de mémoire) et son fameux "avant garde" en compagnie de BHL, bref, rien n’est fait pour l’apaisement et la dissipation des tentions, cette publicité autour de cette shoah de 2006, puisqu’ils n’ont rien d’autres à se mettre sous la dent pour apporter du grain à moudre à leur moulin, les sionistes, continuent dans la stratégie de la pleurniche dans le but avoué de faire perdurer leur fond de commerce favori, et en plus d’assimiler définitivement antisionisme et antisémitisme afin de faire taire toute critique à l’égard du régime d’Apartheid et de colonisation de l’état d’Israël. Alexandre Arcady est un militant très actif pour la cause sioniste, et ce, depuis longtemps, l’union sacrée, K (avec encore et toujours Patrick Bruel, il vaut son pesant de cacahuètes, le scénario de K) etc...
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Dans le même temps nous avons le Crif qui publie son appel au vivre ensemble ils se foutent vraiment de la gueule du monde, en tout cas, ils ne vont clairement pas dans le sens de la réconciliation, c’est le moins que l’on puisse dire. L’antisémitisme avéré ou supposé de leurs adversaires étant leur principal raison d’exister, les sioniste continueront jusqu’à l’écoeurement ou jusqu’au clash final.
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Bref restons zen face à cette provocation victimaire, une de plus, que les chères têtes blondes et crêpues de France devront se farcir bon gré malgré entre deux pages d’Anne Frank écrites au stylo bic.