Bon je vais tenter la pertinence plutôt que le trollage puisqu’on ne m’aime plus dans ce rôle...
Ein Volk, Ein Reich, Ein Führer (ou Ein Got), c’était l’idéologie d’un jeune peintre autrichien devenu allemand...
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L’union européenne selon les propos de Farage est exactement dans le même registre mais non plus d’un pays, à vocation conquérante, à l’instar d’un Napoléon avant Adolf et dans un sens plus large et plus actuel, le concept de mondialisation et de village planétaire.
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Nous sommes donc confrontés, en apparences, à une idéologie "humaniste" qui consisterait à dire qu’en homogénisant l’être humain, on supprime les conflits, raciaux, ethniques, religieux, sauf que ce n’est que le mensonge de façade qui serait presque crédible (admettons) si nous ne savions pas tous, qu’il s’agit en fait de domination économique, ce que ne disent jamais les partisans de cette idéologie hégémonique, castratrice, uniformisatrice, conformiste à outrance.
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Oui l’humain à terme sera uniformisé qu’on le veuille ou non et par la force des choses et au gré des progrès technologiques rendant la planète de plus en plus petite et les distances de plus en plus courtes, mais ce qui bug dans ce projet matriciel, c’est la volonté de certains progressistes intellectuels qui ne sont pas dans le réel et par conséquent zappent les contraintes des masses moins instruites, confrontées, elles, au réel, car la pensée, jusquà preuve du contraire, est toujours plus rapide que la force physique nécessaire à mettre en oeuvre le concept intellectualisé dans le monde réel. Et ce pour X raisons.
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L’union européenne est un échec principalement pour quelques raisons majeures : Oubli volontaire ou non du facteur humain, consistant à faire table rase du passé pour ne plus reproduire les erreurs commises avec une volonté de réunir sous un même drapeau des peuples drastiquement différents au passé guerrier, et aux divergences et querelles auxquelles il faut laisser du temps pour espérer une aténuation des rancunes et une réconciliation toute relative, ce que ne permet en aucun cas les exigences des marchés et les intérêts économiques qui eux sont dans l’immédiatetés, fluctuent à la vitesse de la nanoseconde et dans un monde marchand, sont les seuls véritables maîtres de nous autres, pauvres hères biologiques dont l’horloge n’est plus respectée par celle, électronique des exigences commerciales.
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Ils ont tenté de faire l’europe en à peu près 2 décennies là où il aurait fallu pour que cela soit viable et acceptable par les masses populaires, au moins deux cents ans au bas mot, peut être plus, peut être moins, c’est ce qui fait que nous sommes maintenant confrontés au clash entre les idéaux théoriques et intellectuels des "élites" auxquelles nous avons gracieusement accordé notre confiance, et aux réalités des populations qui ont d’autres chats à fouetter que des échanges diplomatiques pour ménager la chèvre et le chou des riches industriels, multinationales, banques too big too fail, et avons généreusement mis nos vies et celles de nos descendants entre les mains de requins pour qui la raison de vivre est le profit immédiat et instantané quitte à bousiller une planète entière pour avoir le loisir de mourir sur un matelas de billets de dollars, d’euros ou une montagne de lingots d’or...
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Voilà toute l’ambiguïté et l’absurdité de ce système dans lequel on est plongé