Et puis, c’est toujours mieux d’aller voir ce film que le film d’Alexandre Arcady...
Cette phrase en dit long sur la mentalité de l’auteur de cet article, qui ose comparer l’incomparable, une petite comédie familiale que j’imagine bien nunuche comme c’est le cas de toutes les comédies issues du cinéma français depuis la grande vadrouille avec un film pédagogique sur un drame atroce sur le premier juif assassiné en France depuis la fin de la deuxième guerre mondiale. C’est une honte de tenter d’inciter les gens à boycotter ce film d’une importance capitale au profit d’une ènième nullerie navetière dont Clavier est coutumier depuis les bronzés.

Je n’irais pas jusqu’à dire que cet article suinte l’antisémitisme à plein nez, mais presque. C’est honteux de faire d’aussi abjects raccourcis et d’aussi innommables comparaisons qui ’ont rien à voir les unes avec les autres dans le simple but de promouvoir une daube au détriment d’un chef d’oeuvre signé Alexandre Arcady, un de nos derniers grands cinéastes avec Elie Chouraki.