Ruth Elkrief est le stéréotype de cette avant-garde de la République glorifiée par Vals au Trocadéro en mars dernier (nommée chevalier de la Légion d’honneur en 2008 au titre de ses 23 ans d’activités professionnelles). Née à Meknès au Maroc, un de ses grands-oncles grand rabbin du Maroc, puis de Jérusalem, arrive en France à 14 ans (comme le sénateur PS David Assouline né à Sefrou au Maroc et présent au Trocadéro), débute sa carrière journalistique à radio Chalom pour naturellement intégrer la chaîne BFMTV d’Alain Weill. Toujours là, l’arrière-garde ?
Classée parmi la droite libérale libertaire, elle a évoluée dans la mouvance UEJF, SOS Baleine, HALDE..., défendu vigoureusement les droits de l’homme en France, le sionisme en Israël et bien entendu, toujours affiché une détestation du Front national. Cette grande professionnelle des médias (les forces d’occupation mentale du territoire comme dirait Ozon) aux réflexes communautaires maîtrise parfaitement la défense des intérêts de la caste.
Par sa virulence durant toute l’interview à vouloir faire avouer JMLP sur la nature antisémite du mot fournée, je l’imaginais assez bien avec un tison sous le bureau pour le marquer au fer au moindre signe de faiblesse avec les initiales AS (non pas pour Alain Soral, mais pour anti-smith).
JMLP que je salue encore une fois au passage.