"Pour contrôler les assurances et les mutualités, il faut savoir. Pour établir des impôts équitables, il faut savoir. Pour légiférer sur les contagions, il faut savoir."
Alain aurait pu continuer longtemps sa liste. Or, que mentionne-t-il juste après cela ? Le besoin de "contrôleurs". Mais comment contrôler et destituer des gens qui doivent savoir sans savoir soi-même ? Là réside la grande aporie de la démocratie et forcément, dans ce court extrait, Alain n’y apporte aucun élément de réponse.