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Commentaire de Mao-Tsé-Toung

sur Michel Onfray : "Il y a l'histoire de la psychanalyse et sa légende !" René Guénon : "Les méfaits de la psychanalyse !"


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Mao-Tsé-Toung Mao-Tsé-Toung 31 décembre 2015 01:51

Comme c’est un peu la dèche en ce moment sur AvTv, dèche des visites s’entend, encore que moi je ne suis pas à plaindre puisque en tête "des plus lus" depuis la première journée du topic, je vous propose donc un épisode de mon vécu de 1962 avec quelqu’un de pas du tout banal !

Puisque certain(s) trouveraient mon introduction trop courte, je vais vous parler de mon professeur d’hypnose et de magnétisme : feu Henri Durville, que j’appelais le chasseur de papillons, inspiré que j’étais à l’époque par une bande dessinée !
Cet Henri Durville n’était pas le premier venu : je n’en veux pour preuve que ce qu’on en dit encore aujourd’hui sur le net :

"
 Henri Durville endormait les fauves
 Le célèbre magnétiseur Henri Durville aimait beaucoup le cirque. Un soir qu’il se trouvait avec des amis au Casino Montparnasse où son ami, le dresseur Georges Mack, présentait ses lions, deux des fauves devinrent subitement agressifs et se jetèrent inopinément sur leur dompteur.
 Aussitôt, Durville qui se trouvait au premier rang des spectateurs se leva et pénétra dans la cage sans que les gardiens affectés à la protection présents sur la piste n’eussent le temps de l’en empêcher. Sûr de lui, n’écoutant que son courage, le magnétiseur s’avança vers les animaux insurgés contre leur maître et qui s’apprêtaient à le tailler en pièces.
 Les deux lions, interrompus dans leur vendetta par l’intrusion de Durville, se détournèrent de leur dompteur à terre et s’élancèrent, en grondant, menaçants, au-devant de l’intrus. Tandis que le public retenait son souffle, le magnétiseur immobile, les fixa tous deux de son regard étincelant, tout en esquissant de ses mains levées des mouvements lents et doux qui les fascinèrent.
 En quelques secondes, les deux fauves sa calmèrent et, tandis que Durville poursuivait à leur encontre ses passes magnétiques sans cesser un seul instant de tenir leurs yeux jaunes sous le charme de son regard chargé de volonté et d’énergie. Sous ses passes, les lions ne tardèrent pas à se coucher à ses pieds et à s’endormir. (La Scène illustrée, juillet 1913)
"
Merci

CQFD


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