C’est très certainement les prémices expérimentaux du premier prototype de projection holographique du BLUE BEAM PROJECT destiné à faire croire à des apparitions mariales, divines, spectaculaires dans le but inavouable de manipuler les masses à grande échelle sur la base de leurs croyances religieuses. Mais ces documents ne seront probablement jamais déclassifiés par la CIA avant longtemps, car il faut rappeler le contexte des années 60 et la guerre froide, les américains avaient déjà une grande avancée, grâce à l’industrie hollywoodienne sur le matériel de prises de vue et de projection sur surfaces naturelles comme les nappes de brouillard dans lesquels étaient injectés des particules d’aluminium ou d’azote, afin de simuler les propriétés des cristaux liquides que nous connaissons en électronique mais sur de la vapeur d’eau naturelle afin de donner l’illusion d’une image en trois dimensions semblant surgir du néant ou de l’au delà, avec l’effet halo si typique dans l’imaginaire collectif des apparitions mystiques. Bien entendu, il est fort probable que ces 4 jeunes écolières aient été préalablement droguées à leur insu dans l’enceinte même de l’école au moyen de LSD dans leur petit déjeûner pour accentuer le côté irrél, irrationnel et crédule de la projection dont elles auront tiré des conclusions sur la base de leurs croyances inculquées à leur éducation plus que primitive sur les faits religieux, la peur du diable a fait le reste, c’est pourquoi, toutes les religions sont à bannir de l’inconscient collectif et actif car c’est une porte ouverte pour faire gober tout et n’importe quoi à tout individu peu instruit et n’ayant accès que très partiellement voire pas du tout à la culture en général. Pas un hasard si ces trucs là arrive le plus souvent dans des régions habitées par des ploucs attardés, comme les apparitions de Fatima au Portugal par exemple, ça n’arrivera jamais en plein Las Vegas ou en plein New York, et pour cause, non seulement les gens sont moins bourrus que des pecnods de contrées perdues dans le trou du cul du monde mais aussi la CIA hésite à faire ses petites expérience sur sol national et les pratique donc de préférence à l’étranger, c’est plus sûr, plus discret, y compris pour les yeux de son propre gouvernement dont les intérêts sont souvent divergents d’avec ses ambitions inavouables de domination mondiale par le mind control.