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Commentaire de eau_du

sur Revue de presse de Pierre Jovanovic


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eau_du eau_du 13 mars 2016 15:32

Bonjour liberty1st,
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" ...et facebook joue de plus en plus un rôle prépondérant dans le lien social. . S’en faire exclure, c’est se faire exclure - en partie - de la société. "

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Je trouve rien de "social" dans Facebook et encore moins dans la politique de M. Zuckerberg ni dans les conditions générales que les utilisateurs doivent accepeter !

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J’ai refusé, depuis le début de sa création, de m’inscrire dans Facebook, car je n’accepte pas la marchandisation de la vie privée des gens et j’ai déteste ce concept des "amis virtuels" !
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Suis je exclus de la société pour autant ?
Certainement pas ! J’ai mes propres sites web pour m’exprimer, des sites sans publicité, sans marchandisation de la vie privée des gens, sans censure si ne n’est pas l’autocensure, car comme vous le savez nous ne pouvons pas aborder certains sujets librement en France sans y peser ses mots :
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Et c’est pareil pour Twitter, Un blog ou on peut s’exprimer avec une seule phrase par message à peine....
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Facebook à joué un rôle prépondérant dans des "révolutions colorées" .... ce site web à donc servie comme catalyseur des révolutions colorées, des révolutions colorées financé notamment par Georges Soros, par la CIA, des ONG, ...
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Voici le passage vidéo sur Georges Soros
https://www.youtube.com/watch?v=1zUg9NrkcAQ&t=34m00s
et voici le lien d’un reportage sur les révolutions colorées en entier
https://www.youtube.com/watch?v=1zUg9NrkcAQ
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Arabesque américaine* est l’ouvrage d’Ahmed Bensâada, un chercheur algérien établi à Montréal.
Dès les premières lignes, l’auteur annonce la couleur « une chose est évidente : le mode opératoire de ces révoltes a toutes les caractéristiques des révolutions colorées qui ont secoué les pays de l’Est dans les années 2000. Comme il est de notoriété publique que ces révolutions ont été structurées, formées et financées par des organismes américains, il serait logique de conclure qu’il y a présence d’une main américaine derrière ces révoltes de la rue arabe ». Tous les faits et les arguments présentés sont vérifiables, selon l’auteur, par simple consultation des références mentionnées.
http://www.algerie-focus.com/2012/02/debat-arabesque-americaine-dahmed-bensaada-printemps-arabe-ou-revolutions-colorees-fomentees-par-les-usa/
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La seconde similitude et bien évidemment le recours aux nouvelles technologies de l’information et de la Communication (TIC) et notamment le rôle des réseaux sociaux, comme Facebook, Twitter ou Youtube dans le renversement des régimes en place. Ce qui donna d’ailleurs lieu à l’éclosion de néologismes tels que cyberdissidents ou cyberévolutions que Bensâada dissèque méthodiquement. Et ce n’est pas un hasard, ajoute-t-il, si une compagnie américaine basée au Massachussetts a développé le logiciel TOR qui permet la navigation anonyme sur Internet et l’a mis gratuitement, à la disposition des cyberdissidents iraniens pour « partager de l’information dans des pays totalitaires » selon la représentante de TOR citée par l’auteur.
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C’est cette même compagnie qui a aidé les cyberdissidents tunisiens et égyptiens lors de leurs révoltes pour contourner les censures de leurs États respectifs avant que la Secrétaire d’Etat américaine ne déclare officiellement, en janvier 2010, la volonté des USA « d’aider financièrement à concurrence de 30 millions de dollars les entreprises et les ONG fabriquant des logiciels anti censure pour aider les opposants vivants sous des régimes autoritaires à contourner les blocages, crypter leurs messages et effacer leurs traces. Les bénéficiaires des fonds fédéraux devaient distribuer leurs logiciels gratuitement, les traduire en différentes langues et offrir des programmes de formation » (Extrait de Washington défend l’Internet libre mais sous surveillance. Le Monde du 21 février 2011).
http://www.algerie-focus.com/2012/02/debat-arabesque-americaine-dahmed-bensaada-printemps-arabe-ou-revolutions-colorees-fomentees-par-les-usa/
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Sur cet aspect Ahmed Bensâada donne une foultitude de détails sur le rôle des USA via les TIC en l’illustrant notamment par le cas égyptien et les acteurs qui y ont joué un rôle décisif. On sait comment, par la suite, ces technologies ont été utilisées en Libye, au Bahreïn, au Yémen, au Maroc et en Syrie pour « populariser » les mécontentements, les soulèvements et les révoltes.
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Liban 2005-2015 : d’une « révolution » colorée à l’autre
En 2011, en pleine effervescence sur la place Tahrir, on questionna Srdja Popovic sur les activités de formations révolutionnaires du centre CANVAS (Center for Applied Non Violent Action and Strategies) qu’il dirige à Belgrade. Il s’empressa de répondre, non sans une petite pointe de fierté : « Nous travaillons avec 37 pays. Après la révolution serbe, nous avons eu cinq succès : en Géorgie, en Ukraine, au Liban et aux Maldives ».
http://www.michelcollon.info/Liban-2005-2015-d-une-revolution.html
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CANVAS (Center for Applied Non Violent Action and Strategies) a formé des dissidents en herbe à travers le monde, et en particulier dans le monde arabe, à l’application de la résistance individuelle non violente, idéologie théorisée par le philosophe et politologue américain Gene Sharp dont l’ouvrage « From Dictatorship to Democracy » (De la dictature à la démocratie) a été à la base de toutes les révolutions colorées et du « printemps » arabe [2]. Aussi bien CANVAS que les différents mouvements dissidents des pays de l’Est ou des ex-Républiques soviétiques ont bénéficié de l’aide de nombreuses organisations américaines d’« exportation » de la démocratie comme l’USAID (United States Agency for International Development), la NED (National Endowment for Democracy), l’IRI (International Republican Institute), le NDI (National Democratic Institute for International Affairs), Freedom House et l’OSI (Open Society Institute). Ces organismes sont financés par le budget américain ou par des capitaux privés américains. À titre d’exemple, la NED est financée par un budget voté par le Congrès et les fonds sont gérés par un conseil d’administration où sont représentés le Parti républicain, le Parti démocrate, la Chambre de commerce des États-Unis et le syndicat American Federation of Labor-Congress of Industrial Organization (AFL-CIO), alors que l’OSI fait partie de la Fondation Soros, du nom de son fondateur George Soros, le milliardaire américain, illustre spéculateur financier [3].
http://www.michelcollon.info/Liban-2005-2015-d-une-revolution.html
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Il a été montré que ces mêmes organismes ont aidé, formé et réseauté les cyberdissidents arabes impliqués dans le fameux « printemps » qui a balayé leurs pays [4]. On retrouve aussi les « empreintes » de ces organismes dans les évènements de Téhéran (Révolution verte – 2009) [5], de l’Euromaïdan (Ukraine – 2013/2014) [6] et, un peu plus récemment, à Hong Kong (révolution des parapluies - 2014) [7].
http://www.michelcollon.info/Liban-2005-2015-d-une-revolution.html
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D’autre part, Aleksandar Maric, l’ex-activiste d’Otpor et formateur de CANVAS n’a-t-il pas déclaré que son organisation avait établi des contacts avec les dissidents libanais et ce, avant la révolution du Cèdre [17] ? Cette précision a le mérite de corroborer les dires de Sharmine Narwani sur la planification de la « révolution » bien avant l’assassinat de Hariri.
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En outre, tout le monde aura remarqué que le « Mouvement du 14 Mars », coalition de forces opposées à la Syrie créée après le meurtre du Premier ministre libanais, a choisi comme logo le poing d’Otpor légèrement modifié par l’ajout d’une branche verte. Rappelons que le poing d’Otpor a été largement utilisé lors des différentes révolutions colorées et des manifestations qui ont accompagné le « printemps » arabe [18].
http://www.michelcollon.info/Liban-2005-2015-d-une-revolution.html
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Rôle de FaceBook
Ce réseau social a été créé sous l’égide des services spéciaux étasuniens afin de faciliter la propagation des manœuvres de déstabilisations dans des pays ou l’impérialisme cherchait à modifier le pouvoir en sa faveur, (révolutions colorées ou printemps fleuris). Cependant FaceBook fut rapidement investi par des oppositions au système impérialiste étasunien profitant de l’aubaine qui leur était fournie.

En Ukraine, il est rapporté par l’opposition au régime nazi pro impérialiste que FaceBook dénonce aux forces de répression les opposants qui peuvent ensuite être arrêtés puis évidemment assassinés.
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En Ukraine, il est rapporté par l’opposition au régime nazi pro impérialiste que FaceBook dénonce aux forces de répression les opposants qui peuvent ensuite être arrêtés puis évidemment assassinés.
http://www.alain-benajam.com/2015/04/facebook-et-la-repression-en-france-et-en-ukraine.html
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Facebook NON MERCI !
C’est vous les utilisateurs qui donnent à Facebook son pouvoir, surtout en acceptent ses conditions générales ! En vous retirent de Facebook vous pouvez lui enlever votre partie du pouvoir.


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