@yoananda
Tu peux développer sur les différences entre la gauche et la droite au niveau de l’ADN de combat ? ça m’intéresse.

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Perso j’ai remarqué plus de points communs que de divergence entre des skinheads et des redskins, ça part toujours d’un problème personnel qu’on défoule sur autrui, les red skins trouvaient des skins sur qui taper et ça arrangeait bien les skins car ils n’avaient pas besoin de chercher ailleurs la baston, et oui, y a des amoureux de la baston car souvent il est plus facile de faire mal à autrui que de faire une introspection et résoudre ses problèmes persos. Une part de bestialité qu’il fallait exprimer comme les hooligans se tapent entre eux pour un prétexte (le foot) qui devient secondaire face à leur amour pour la rixe, qui étaient aussi parfois en dehors des matchs skins ou red skins dans la vie de tous les jours, ce sont les mêmes cas sociologiques, après l’idéologie est un prétexte ou une excuse pour trouver quelqu’un sur qui cogner, dépend du contexte, de l’origine, des potes, des opportunités, un rien faisait qu’un skin pouvait être un redskin, selon les circonstances, il y a aussi le désir d’appartenance à un groupedans lequel on a des affinités.

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ça m’a toujours fait marrer que de constater que les plus zélés des skins étaient très souvent eux mêmes des étrangers à la base, des Lopez, des ayoub etc... Après tout dépendait du milieu de l’enfance du crâne rasé, si ses parents étaient des partisans de Georges Marchait, y avait plus de chances que le fiston baston se raliat plutôt aux redskins qu’aux skins, mais ce n’est pas une science exacte, tout dépend de l’individu si il préfère la faucille ou le marteau plutôt qu’un vague symbole hindou détourné par un peintre râté autrichien, mais fondamentalement aller trouver une explication rationnelle dans les différences qu’il y a entre préférer Staline ou Hitler, à peu de choses près c’est kif kif bourrico pour les prolos de base. Un régime totalitaire qui a occasionné des millions de morts, l’un est toléré dans l’histoire (communisme) et l’autre diabolisé comme si c’était satan (le nazisme) pourtant au bodycount, le communisme l’emporte haut la main et continue ses merveilles dans certains pays, comme la corée du nord, au hasard.

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Ayoub prétendait défendre les travailleurs, mais les travailleurs ne lui ont rien demandé, et lui ne s’est pas beaucoup illustré pour l’amour du travail qu’il a déployé, n’est ce pas, en ce sens il est comme Mélenchon ou Le Pen, qui n’ont rien de prolos mais prétendent se battre pour eux. Comme les muzz qui tuent au nom d’allah, ça doit dédouaner l’assassin de ses propres actes, donc conscience plus tranquille pour verser le sang des autres au nom d’un être supérieur, comme les nazis à Nuremberg : "On obéissait aux ordres"...

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C’est plus confortable mais c’est diablement humain que de se déresponsabiliser de ses actions par un moyen ou un autre.

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Cette analyse concerne les individus, bien sûr. Ensuite il y a les mouvements, les identitaires veulent défendre les leurs et leurs terres avant les autres et les territoires des autres, réflexe naturellement normal pour tout animal qui se respecte, les antifas défendent les autres avant les leurs par mépris ou même haine de leurs semblables qu’ils considèrent comme arriérés, non progressistes, rances etc... Les citoyens du monde qui pensent que tous les hommes se valent et tout le monde est le frère de l’autre, dans la nature c’est une aberration, chez l’homme c’est une aliénation mentale, une utopie, un bug idéologique qui n’a pas sa place face au principe de réalité à force de propagande post 68arde et de principes tels que l’humanisme, la tolérance, l’ouverture d’esprit, ils en oublient que ces valeurs sont respectées à sens unique en niant la réalité culturelle totalement différent des nôtres, de l’autre qui est forcément mieux que le cureton facho du coin ou de la mère Denis qui pue le pétainisme dans ses discours de femme saoule au bistrot du coin. 

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Le jour où l’autre sera prêt à nous aimer comme nous sommes capables, souvent de façon naïve et par nos réflexes de défense émoussés à force de trop de confort, on pourra peut être envisager un monde meilleur, tous ensemble la main dans la main et le poignard dans l’autre car on en oublie que l’autre, il doit souvent lutter pour sa survie, des pays où il vient l’autre c’est la loi de la jungle qui prédomine, avec des conditions beaucoup moins cools que les nôtres, il doit parfois parcourir des kilomètres pour apporter de l’eau pas trop polluée pour faire vivre sa famille trop nombreuse, pas juste tourner un robinet. Bref, le véritable humanisme consisterait à faire en sorte que ces gens soient heureux chez eux, qu’ils n’aient pas à fuir leurs pays pour venir dans notre eldorado qui n’en est pas un, mais ceci est vaste et complexe sujet à détailler et cela dépend des psychopathes qui dirigent le monde et eux, n’ont rien d’humaniste en eux, à part pour leurs semblables, et encore... Donc les pseudos humanistes antifas se gourent sur toute la ligne et sont des dangers pour eux mêmes et es autres, contrairement aux identitaires qui eux, ont des réflexes sommes toute normaux pour tout organisme raisonnablement constitué. Disons que les identitaires sont beaucoup moins pires que les antifas, même si la connerie n’a jamais eu de couleur politique particulière, mais étrangement, les antifas bénéficient d’un traitement de faveur de la part de la police, de la loi, des juges, et pour cause, n’est ce pas... Nous continuons de subir les conséquences de la deuxième guerre mondiale et de mai68, juges rouges, mur des cons, syndicats de la magistrature etc, c’étaient pas des gudards pendant leurs années lycées, c’est certain, ils ramassaient certainement des coups de la part des gens du GUD, ils ont donc la rancune tenace... ça peut se comprendre...