@Les Vaxxeuses
Merci
chère Vaxxeuses pour votre réponse qui m’indiquent :
-1-
qu’en décembre 2014, Mme Ségolène Neuville, médecin et secrétaire d’État
colportait à l’ASSEMBLÉE NATIONALE des rumeurs. Génial ! Le problème,
c’est que Mme Ségolène Neuville, il y a 3 ans, était la personne référente du
gouvernement pour la vaccination.
-2-
que « Les recommandations actuelles sont de ne pas vacciner une personne
avec une maladie auto-immune déclarée »
Parfait, mais la plupart des maladies auto-immunes se
déclarent rarement avant 2 ans. Vous me donnez l’exemple de la SEP. L’âge
d’apparition d’une "Sclérose En Plaques", c’est au plus tôt 10 ans.
Mon propos concerne mon bébé de 2 ans. Et comment fait-on si une maladie
auto-immune s’est déclarée dans l’organisme
mais que les signes cliniques ne sont pas encore visibles ou mal
interprétés par le pédiatre (ce qui est souvent le cas : la plupart des
maladies auto-immunes ne sont diagnostiquées que tardivement après un long
parcours de soins inappropriés) ?
-3-
que d’après vos "études statistiques", « les antécédents familiaux
ne sont pas une contre indication à la vaccination ». Là, je suis en droit
d’être sceptique. En effet, pour évaluer véritablement l’impact des vaccins
avec des "études statistiques", il faudrait au minimum un groupe
témoin (c’est-à-dire sans aucun vaccin) pour que vos études soit correctes. Or
il est presque impossible de trouver des personnes qui n’aient pas été
vaccinées au cours des 40 dernières années en France. Alors, à part aller
chercher un groupe de Pygmées d’Afrique centrale, comment vos chercheurs
font-ils leurs calculs ? (Je rappelle que les statistiques n’ont de réelle
valeur prédictive que si elles sont déterminées à partir d’un nombre conséquent
d’individus)
-4-
que tout « cela doit être apprécié au cas par cas par le médecin ».
D’accord, mais nos chers médecins sont limités dans leurs actes par les RMO
(Références médicales opposables). Par conséquent, la Sécu leur interdit
d’effectuer pour chaque enfant une batterie d’examens pour apprécier
véritablement les risques d’un accident post-vaccinal. Alors faut-il faire
comme nos élites, c’est-à-dire consulter plutôt un médecin non conventionné qui
fixe ses propres tarifs et qui a la liberté de ses prescriptions ?
Pour
résumer votre réponse : je dois
faire une confiance aveugle aux "études statistiques" et à nos chers
médecins conventionnés qui ont perdu leur liberté de prescription et qui colportent, d’après vos affirmations, de
fausses polémiques et des rumeurs.
Pendant
ce temps, vos "études statistiques" n’ont toujours pas été capables
de comprendre et de prévoir l’explosion
de ces 20 dernière années des troubles moteurs, du langage, des maladies
chroniques (allergies, fatigue,…), des troubles neuro-développementaux, du
déficit de l’attention, de l’hyperactivité,…
Enfin merci d’avoir essayé de me rassurer.