Pitoyable Jean François Kahn ! Allez, vite à la retraite.
La vieillesse est un naufrage sans fin (Charles de Gaulles).
Voulez vous dire par là qu’elle se touche ? Elle aurait suivie les conseils de DSK alias " le singe en Ruth " ? A force de se faire l’avocate du plus célèbre taulard new yorkais ; elle va finir par se mouiller.
Voyons, en France, on ne dit pas " Oligarchie" ; on dit : " O l i g a r c h i é e ".
Il est marrant cet intello de bazar qui est vient se lamenter comme devant le mur en palestine.
Toute son attention, sa commisération va à l’auteur des actes perpétrés sur la femme de chambre du Sofitel. Pour elle, pas un mot, un seul.
Il se livre à ses plus grotesques acrobaties pour dédouaner DSK, qu’il nous met en scène comme une victime expiatoire du système judiciaire américain. Ses pitreries oratoires ont de particulier, qu’elle révèlent cette mentalité de bande d’un microcosme de tristes sires et je pèse mes mots. Ils se croient tout permis. En France, ils ont presque réussis, passant outre par exemple, la décision du peuple de dire NON au traité de l’acte unique européen. Notre nation contestataire dans l’âme avait détecté qu’il y avait en arrière plan, les ignominies les plus avilissantes. Elles apparaissent au grand jour en Grèce qui est mise en coupe réglée. C’est un véritable dépeçage d’un pays auquel on assiste. La tête de file de ces actions, l’arrangeur de cette immonde manoeuvre est ? Alors, voyons : La direction du FMI.
La Grèce, l ’ Espagne, le Portugal, l’ Irlande sourient de voir DSK en taule de luxe et sa bande à mentalité de vautour avec un coup dans l’aile.
D’après l’extrait du reportage et si et seulement si, toutes les images sont fidèles et la bande son également, on peut raisonnablement dire que l’afsap est un organisme qui a pour seule finalité des études statistiques et en aucune manière, un rôle dans la prévention des risques sanitaires encourus par la population française. Autrement dit, les normes qu’elle préconise pour la qualité de l’eau sont sans intérêt étant donné que dès lors qu’il y a dépassement de celles-ci aucune action, intervention, alerte, préconisation n’a été envisagé. Donc dès lors qu’une norme ne sert à rien, il n’y a pas lieu de la maintenir.
Il est donc tout à fait envisageable de retirer les missions de surveillance, de normalisation et de prévention à cette administration et de la confier à un opérateur privé ou étranger (public ou privé) qui en cas de manquement à sa mission, aura lui des comptes à rendre. Il conviendrait donc pour la santé des français de limoger tous les directeurs de services, agents de maitrise, employés de ce service qui a démontré son inutilité. La suppression du service ne sous entend pas celle de la ligne de budget puisqu’il faudra rémunérer les opérateurs privés ou étrangers.
Quand au ministre de la santé de l’époque, ce type est vraiment une imposture. Médecin par inadvertance, opportuniste professionnel. A quand, devant un tribunal populaire ?
Le rappeur rappé ? L’épluchure ? La raclure ? Rien de tout ça, c’est un pauvre gars qui s’est rendu compte à l’insu de son plein gré qu’il était dans une impasse. Sa seule solution pour sortir de là est de casser le mur qui l’obstrue alors il y va tout en finesse : insultes, menaces, le tout sur un ton de prédicateur de l’inquisition. Malgré tout ces efforts, il est probable qu’il se rende compte lui-même que ces gesticulations sont vaines : il restera un tocard. Donc seule issue, la surenchère à l’emporte pièce, la provocation, le dénigrement en espérant que cela fera bouger les choses pour qu’il puisse se dégager de cette gangue. Agitations stériles, il est et reste une brêle pour ne pas dire un branleur sauf qu’il prend de l’age et que là il commence à être périmé. Cela fait longtemps qu’il n’est plus un ado auquel on passe les "joyeuses et malgré tout sympathiques conneries". Maintenant il entame sa carrière judiciaire et elle semble prometteuse. Dans quelques années on entendra le même, vilipender la "société raciste" qui aurait rejeté, maltraité, humilié parce qu’il est "différent". On aura beau lui rappeler ses efforts constants pour s’intégrer à celle-ci en usant de son humour potache : "tailler des pipes dans les tournantes, etc" ; il niera les avoir tenu. Quand bien même il les aurait tenus, ce n’est pas cela qu’il fallait entendre, comprendre. Il s’érigera de lui-même en chevalier blanc (sans rire), défenseur des immigrés opprimés avec tout le folklore antiraciste de bazar pour combattre "l’immonde" front national. Quelle bonne blague, se refaire une façade avec un tel maquillage : c’est pire qu’une bagnole volée.
Le cococortex est certainement une figure emblématique du militantisme. Son efficacité est bien supérieure à cinq cent affiches du Mouvement politique de Marine Lepen. C’est une publicité vivante bénévole pour ce parti. C’est un militant exemplaire, le pire qui puisse exister, car il l’est à l’insu de son plein gré. Grâce à lui, les lois sécuritaires vont se répandre sur la France comme une ombre. Tous les Français en subiront les conséquences. En avril 2012, si le Front National est au second tour ; on pourra le remercier pour sa contribution.
Comme on peut tabler sur sa constance dans ses propos, il devrait être envisager de l’aider à s’échapper de cet enfer qu’est la France. Offons lui, un aller simple pour les états unis, l’afrique du sud, le congo, le Yémen, où il pourra s’épanouir loin de ce pays qui lui sort par tous les trous de la peau. Il aurait tout le loisir de reprendre son prêche de curé prophétisant et lorsqu’il aura atterri, face à la vraie vie et face à lui-même, on peut ouvrir les paris qu’il se souviendra qu’il a la nationalité française. Il ne manquera pas alors de faire valoir ses droits de retour au pays, mieux il l’exigera. Au vu de ses contributions inestimables, ne devrait on pas lui répondre que son passif est trop élevé ?
Laisse ton clavier tu vas être en retard.
« Je suis certain, enfin pratiquement certain, qu’il n’y a pas eu une tentative violente de viol
Bien sur, il a raison le gateux : c’était une tentative de viol cooool.
Voulait il sous entendre que même avec un boite de viagra DSK avait malgré tout qu’une anguille crevée en bas de son bide ? Quand bien même, un viol est une atteinte à l’intégrité physique et mentale d’une personne, quelles que soient les circonstances ou le lieu. La réflexion de Jean F. Kahn dénote d’une vieille mentalité bourgeoise rance qui estimait que si le maître de maison abusait sous la contrainte (de perdre son emploi) ses servantes, après tout c’était dans l’ordre des choses tant que cela ne faisait pas de vague.
Cette mentalité qui fait dire au vieux beau, Jack Lang, " " qu’il n’ y a pas eu mort d’homme" ". Ces propos immondes montrent à quel point ces gens sont des imposteurs lorsqu’ils se réclament de la pensée socialiste. Qu’ils s’en aillent tous à la retraite définitivement.
Encore une belle bouse "socialiste" ou pire "communautaire". Son passif de queutard est éloquent et devrait figurer au guinessbook de la vulgarité, tellement il cumule. Hotel, avions, congrès, tout était bon. L’expression "la bite à la main" prend tout son sens, comme une carte de visite. Baratine autant que tu peux, il est "out" et ça c’est une bonne nouvelle pour la France, la Grèce, le Portugal et l’Irlande.
Un lien à sa gloire : http://www.youtube.com/watch?v=QbqE61iHFN4
Son surnom en off est : "le beau décolleté de Paris". (c’est ironique, précision).
Erreur Ariane, c’est le bousquet.
Alors là on touche le fonds, Zézette voyons, tu déconnes.
Tu as l’air d’une écolière qui a débite sa récitation juste pour avoir une bonne note mais qui s’en balance du sujet vu que ses copines elles vont partir à la piscine dans cinq minutes et elle serait bien mieux avec. C’est dur de se livrer à une corvée pareille mais l’ex futur président, il a vraiment fait le con avec sa nouille. Alors, c’est la minute de colle télé. Oui, c’est chiant mais c’est tombé sur toi au tirage au sort alors fait pas cette bobine. Sourires, svp, ça tourne.
Ménard est préoccupé lorsqu’il entend le nom d’Eva Joly. On le comprend. Si l’on commençait à s’intéresser de près à lui on pourrait s’apercevoir des faits suivants :
RSF reçoit des financements d’organisations telles que le Center for a Free Cuba, un groupuscule d’extrême droite, financée par les Etats-Unis, dont le but est de renverser le gouvernement cubain, comme le stipulent ses statuts. D’où les violentes campagnes anti-cubaines orchestrées par l’entité parisienne, notamment l’attaque de l’ambassade cubaine de Paris en avril 2003. RSF prétend même n’avoir jamais occulté ces subventions dont elle bénéficie depuis 2002. Cela est faux puisque ces dernières n’apparaissent pas dans les comptes de 2002 et 2003. Qui avait procuration sur ces comptes ?
Robert Ménard quitte la direction de Reporters sans frontières le 30 septembre 2008. Depuis novembre de la même année, il occupe les fonctions de directeur d’un centre d’accueil pour les journalistes à Doha au Qatar, doté d’une subvention annuelle de 3 millions de dollars par l’émir. Son conseil d’administration compte notamment PPDA et Dominique de Villepin. Cette reconversion dans un pays qui n’a rien d’une démocratie : le pouvoir y est transmis par hérédité et la presse n’a pas le droit d’émettre des critiques contre la famille régnante et le gouvernement ; ce n’est plus un problème...fiscal.
Parce que l’éthique, c’est quoi déjà ?
Robert Ménard est même allé jusqu’à légitimer la torture, suivant la décision du Congrès étasunien de la légaliser en octobre 2006. Lors de l’émission de radio "Contre-expertise" présentée par Xavier de la Porte sur France Culture le 16 août 2007 de 12h45 à 13h30, le secrétaire général de RSF a affirmé qu’il était légitime de torturer des suspects pour sauver la vie d’innocents, reprenant l’argumentation des plus effroyables dictatures et bien sûr de l’administration Bush. "Si c’était ma fille que l’on prenait en otage, il n’y aurait aucune limite, je vous le dis, je vous le dis, il n’y aurait aucune limite pour la torture . Non seulement, Ménard légitime la torture, position moralement insoutenable même contre des criminels, mais il remet également en cause la présomption d’innocence. Faut-il rappeler à l’ex-patron de RSF que l’apologie de la torture est interdite en France, que même si les USA ont voté une loi pour en autoriser l’usage, elle est condamnée par l’ONU, la Convention de Genève, Amnesty international et par toutes les ONG ou presque ?
Robert Ménard est au journalisme ce que Bernard Kouchener est à l’humanitaire : une ingérence.
Auparavant :
L’activité concrète de Reporters sans frontières est très éloignée de ce que les donateurs croient financer. Le fonds d’assistance aux journalistes opprimés, c’est-à-dire le paiement des honoraires des avocats des journalistes emprisonnés, le soutien matériel à leurs familles, le développement des Maisons des journalistes, tout cela qui représente le cour de l’activité officielle de l’association et la raison de la générosité du public ne reçoit que. 7 % du budget général ! Vous avez bien lu : pour 1 euro donné pour les journalistes opprimés, seuls 7 centimes arrivent à destination.
Où passe donc le reste ?
La véritable activité de Reporters sans frontières est de conduire des campagnes politiques contre des cibles déterminées. Elles seraient légitimes si, comme la Fondation Soros , elle n’instrumentalisaient pas la liberté de la presse au point de l’évoquer pour justifier des violations graves du droit international. À titre d’exemple, RSF s’est félicité de l’enlèvement du président constitutionnel d’Haïti par les Forces spéciales états-uniennes appuyées par une logistique française, au motif que Jean-Bertrand Aristide aurait été un « prédateur de la liberté de la presse » ; un qualificatif étayé par une vision tronquée des évènements qui visait à faire passer le président haïtien pour le commanditaire de meurtres de journalistes. Force est d’observer que, ce faisant, Reporters sans frontières soutenait médiatiquement une opération dans laquelle le gouvernement français s’était fourvoyée, alors que ce même gouvernement français subventionnait l’association.
Le caractère idéologique des campagnes de Reporters sans frontières tourne parfois au ridicule. Ainsi, l’association s’est-elle indignée du projet de loi vénézuélien visant à soumettre les médias au droit général, mais elle ne s’est pas préoccupée du rôle du magnat de l’audiovisuel Gustavo Cisneros et de ses chaînes de télévision dans la tentative de coup d’État militaire pour renverser le président constitutionnel Hugo Chavez .
C’est en définitive à propos de Cuba que la polémique s’est cristalisée, tant il est vrai que RSF a fait de la dénonciation du régime castriste l’axe principal de ses campagnes. Selon l’association, les 21 journalistes emprisonnés dans l’île auraient été accusés abusivement d’espionnage au profit des États-Unis et seraient en réalité victimes de la répression gouvernementale. Pour lutter contre ce gouvernement, RSF a organisé diverses manifestations, dont une qui a mal tourné, le 14 avril 2003 devant l’ambassade de Cuba à Paris. Dans son enthousiasme, l’association a également troublé la session de la Commission des droits de l’homme, au siège de l’ONU à Genève. Ses militants avaient pris à partie la présidence libyenne de la Commission et molesté des diplomates. En conséquence, Reporters sans frontières a été suspendu pour un an de son statut d’observateur au Conseil économique et social (Ecosoc) de l’ONU. Robert Ménard n’a pas manqué de stigmatiser les dérives de cette commission, selon lui aux mains des spécialistes des violations des droits de l’homme. Pourtant, les sanctions à l’encontre de RSF ont été votées par des États parfaitement démocratiques comme l’Afrique du Sud, le Brésil ou le Bénin.
Interrogé par téléphone, Robert Ménard récuse les allégations selon lesquelles RSF aurait été acheté par l’argent de la NED/CIA pour mener campagne contre Cuba. Il explique que l’association a demandé une subvention à l’Agence états-unienne pour venir en aide aux journalistes opprimés en Afrique et qu’elle a en définitive reçu seulement 40 000 dollars à la mi-janvier 2005. Dont acte.
Poursuivant la discussion, M. Ménard récuse également les accusations de notre collaborateur Jean-Guy Allard, par ailleurs journalistes à l’agence nationale Granma Internacional. Celui-ci relate les liens personnels étroits que le directeur exécutif de l’association entretient avec les milieux d’extrême droite anticastriste à Miami, notamment avec Nancy Pérez Crespo. Haussant la voix, il nous accuse de projeter des présupposés idéologiques sur les choses, alors que lui et son association s’astreindraient à la plus grande neutralité. Puis, il nous accuse d’accorder du crédit à de la « propagande communiste ».
Vérification faite, Robert Ménard fréquente bien l’extrême droite de Miami et RSF est bien financé par le lobby anticastriste pour mener campagne contre Cuba. En 2002, Reporters sans frontières a signé un contrat, dont les termes ne sont pas connus, avec le Center for a Free Cuba, à l’issue duquel il a reçu une première subvention de 24 970 euros. Celle-ci a été augmentée à 59 201 euros pour 2003. Le montant 2004 n’est pas connu.
Le Center for a Free Cuba est une organisation créée pour renverser la révolution cubaine et restaurer le régime de Battista. Elle est présidée par le patron des Rhums Bacardi, dirigée par l’ancien terroriste Frank Calzon, et articulée à une officine de la CIA, la Freedom House.
Le contrat signé avec le Center for a Free Cuba a été négocié en 2001 avec le responsable de l’époque de cette organisation : Otto Reich, le champion de la contre-révolution dans toute l’Amérique latine. Le même Otto Reich, devenu secrétaire d’État adjoint pour l’hémisphère occidental, fut l’organisateur du coup d’État manqué contre le président élu Hugo Chavez ; puis, devenu émissaire spécial du président Bush, il supervisa l’opération d’enlèvement du président Jean-Bertrand Aristide.
RSF, c’est 7 % de soutien aux journalistes opprimés et 93 % de propagande impériale états-unienne
(sources Réseau Voltaire)
En l’état actuel, ce serait plutôt le désordre mondial. Les ajustements se font de plus en plus dans la douleur à cause entre autre, des différences de temps de réaction des économies. Certaines sont très bien équipées, l’informatisation est à outrance. D’autres sont en train de le faire. L’argent spéculatif en circulation, se déplace autour de la terre comme un nuage, en quelques heures, voir quelques minutes. Les sommes en question sont considérables. Des régions deviennent ainsi attractive du jour au lendemain et peuvent retrouver l’état initial aussi vite, laissant les habitants avec des actifs d’investissement devenu sans valeur, sur les bras.
Cela étant les peuples qui forment l’humanité ont presque tous une histoire différente et elle est rattachée à un lieu géographique en général, le cas des arméniens et des palestiniens mis à part. Les nations qui sont elles même des agrégats pré-existaient avant toute perception de peuple mondial ; ce que les moyens numériques ont tendance à suggérer. Dire que les nations divisent le peuple humain alors qu’elles sont de fait les éléments constitutifs ; c’est se tromper de sens. Les dirigeants d’une nation devraient normalement, se préoccuper de l’intérêt général des nationaux et des résidents sur le territoire national. Le fait est qu’ils le font peu. Ils pensent parfois uniquement à eux-mêmes et à conserver les prérogatives détenues dans le cadre de leurs mandats. L’humain étant ce qu’il est, à partir d’un certain nombre de millions de $ ou d’ €, certains se laissent acheter au détriment de ceux qu’ils représentent. Les grands groupes financiers l’ont bien compris. C’est ainsi qu’ils peuvent faire mains basses sur des biens collectifs (EDF, Les PTT, France télécom), faire modifier des textes législatifs en vue de leurs intérêts ( Loi NOME : la dérégulation des tarifs de l’éléctricité + 30% pour les quatre prochaines années) en dépit des nuisances et à l’insu du peuple (autorisations des recherches et des permis d’exploitation des gaz de schiste signées par Jean Louis Borloo l’ex-écolo du Grenelle de l’environnement).
Les nations sont un des derniers remparts contre l’avidité de ces vautours internationaux que sont les grands groupes financiers (Rockfeller, JP Morgan, Sorros). La guerre déclenchée contre l’Iraq n’a été au final que le braquage de la plus grande station service du monde. Comme on ne change pas une équipe qui gagne, ils recommencent en Lybie. Le peak oil étant atteint, la maitrise du pétrole fossile sera la maitrise de l’économie d’où la précipitation US à s’accaparer les ressources. Ils tentent ainsi de bloquer la Chine à moyen terme.
Effectivement, vous avez tout à fait raison ; les vrais dirigeants, officiels ou non (Bilderberg, nouveau cercle, trilatéral, etc) s’entendent pour soumettre (c’est terrible mais exact) l’ensemble des peuples aux seuls profits de leurs intérêts. D’où l’acharnement du laquais Attali pour refourguer, pour revendre le concept du gouvernement mondial. Ses nombreuses apparitions sur les plateaux télé sont de la propagande et rien d’autre. A propos, à qui appartiennent les chaînes de télévision depuis qu’elles ne font plus partie du service public (hormis France2+3) ? Là aussi, ils ont déjà fait mains basses.
Les citoyens se réveilleront ils avant que le point de non retour soit franchi ? Qu’attend t on pour faire comme l’ Island et dire merde au banquier ? Qu’attend t on pour annuler la loi Rockfeller-Pompidou de 1973 ? Que font nos députés ? Achetés eux aussi ? Non, c’est pas possible, c’est la réalité ?
Pascale Clark n’est pas une journaliste.
Elles n’est pas foutue de réaliser un reportage documenté, c’est fait par dessous la jambe.
C’est une chroniqueuse de people (showbizz ou politique) dont le seul centre d’intérêt est de faire de l’écoute (et donc des recettes publicitaires pour son employeur) en employant les recettes de café du commerce. Il s’agit de damé le pion à l’interviewé, à avoir le dernier mot, pour donner l’illusion qu’elle connait quelque chose au sujet quel aborde. Plus tordue encore, elle en profite pour balancer ses bonnes idées à la godille comme la pensée correcte et adéquate.
Alors, elle se glisse dans sa panoplie de fausse ingénue pour sortir ses vannes foireuses espérant mettre les rieurs de son coté.
C’est pas du journalisme : c’est de la daube.
Bientôt, elle nous annoncera que son cul c’est du poulet et elle nous demandera de la croire sur parole. Le seule intérêt de la dinde farcie c’est de donner la température .... du medef.
La réponse au traité de Lisbonne a été : non.
Sarkozy une fois au pouvoir l’a ratifié passant outre le résultat du référendum.
C’est cela mépriser la décision du peuple et non le discours foireux de Zemmour.
C’est cela que dénonce, entre autre, le livre d’Edwy Plenel.
Encore un herbivore.
Très marrant ce trait d’humour pour une hypothèse inattendue.
La Suisse pourrait avoir en ce cas de gros problèmes pour continuer à exporter le gruyère structurel. La France serait aussi dans la panade avec ses tubes de Beaufort ou d’Abondance.
L’ Italie est hors course ; elle n’a pas réussi à trouver les rigidifiants pour autoriser l’usage de la Mozarella dans le btp.
Très marrant mais complètement déplacé votre humour.
Hé oui, la daube a du succès !
Pas très crédible l’écolo verdâtre.
Peu d’idée, pas de contenu, du baratin, un bla bla insipide.
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